➡️ Décidément, Mme Menhaouara est incorrigible : mise en défaut pour une annulation sans prévenir personne du conseil municipal prévu initialement le 25 septembre, la Maire s'est laissée aller à une explication vaseuse pour tenter de justifier ce délai inexplicable : elle aurait attendu des informations nécessaires après les incertitudes suscitées par les projets budgétaires du Gouvernement Barnier…
Or aucune décision de nature budgétaire n'était inscrite à l'ordre du jour du conseil, on ne comprend donc pas quelle délibération étudiée hier soir aurait pu être mise en difficulté par d'éventuelles annonces du gouvernement. Pire, annonçant un prochain conseil en novembre avec des délibérations financières découlant de décisions gouvernementales à venir, elle s'est enfoncée dans le mensonge : en effet, en novembre, l'examen du projet de loi de finances pour 2025 ne sera pas terminé, on voit donc mal comment elle pourra s'appuyer sur un terrain solide sans savoir quel sera le budget de la nation et les conditions budgétaires faites aux collectivités territoriales. Mme Menhaouara ment à tous les conseils municipaux, ça devient décidément risible quand on atteint ce niveau-là : il n'est rien d'autre en cause de la propre désorganisation de son équipe.
🕊Nous avons voté pour la proposition de verser subvention exceptionnelle de 5000 euros en faveur du Secours populaire français en soutien à la population libanaise.✅
Pendant que d'autres conseillères municipales de l'opposition et de la majorité préféraient déclamer des déclarations de politiques internationales alambiquées, j'ai fait la proposition simple qu'une somme de même importance soit versée à une association humanitaire reconnue pour venir en soutien aux habitants de la bande Gaza et de Cisjordanie qui subissent l'horreur depuis presqu'un an. Cette demande a été balayée d'un revers de la main par Mme Menhaouara prétextant qu'une commune ne pouvait verser ce type d'aide qu'à la condition d'être sollicitée par une association - quand une ville veut verser une aide, tout le monde sait qu'elle peut facilement trouver une association humanitaire pour lui en faire la demande - et qu'il n'y avait pas d'association humanitaire reconnue agissant aujourd'hui à Gaza et en Cisjordanie : si l'on sait que la situation est extrêmement difficile pour les associations humanitaires à Gaza (ce qui accroît la détresse de la population), elle n'est pas la même en Cisjordanie où la population subit également un harcèlement militaire constant de la part des colons et du gouvernement d'extrême-droite de Netanyahu : notre ville est jumelée avec West Bani Zaid en Cisjordanie, cela aurait été le minimum de solidarité à mettre en œuvre. En réalité, la Maire de Bezons et son équipe font preuve d'indifférence et de fainéantise. Honte à eux !
😡Nous avons dénoncé le rapport d'activité 2023 de la communauté d'agglomération de Saint-Germain Boucle-de-Seine.❌
Cette intercommunalité est un véritable scandale : c'est une communauté réduite aux acquêts, en forme de tiroir caisse, qui vide les caisses de Bezons et de Saint-Germain-en-Laye au profit des habitants bourgeois des autres communes. 80% du budget de fonctionnement est reversé aux communes sous la forme d'attributions de compensation, sauf qu'au passage la Ville de Bezons verse plus au budget de l'agglomération qu'elle ne reçoit : les Bezonnais modestes financent les services des habitants aisés du reste de l'agglomération. C'est un hold-up légal mis en musique par la majorité conservatrice du conseil communautaire, qui peut compter sur la complicité et le silence de Mme Menhaouara et de ses amis ; seul le groupe de gauche Alliance citoyenne écologiste et solidaire où je siège au nom du collectif citoyen Vivons Bezons s'oppose à ces manoeuvres. La Chambre régionale des Comptes a dénoncé d'ailleurs la faiblesse du fait intercommunal dans ce territoire et le fait que cette agglomération soit le plus petit coefficient d'intégration DE TOUTE LA FRANCE. Les riches élus du reste de l'agglomération ne visent qu'à juxtaposer les communes pour bénéficier des financements de l'Etat et détourner l'argent des Bezonnais.
Comble du ridicule, le conseil communautaire a adopté un Plan Climat Air Energie Territorial dont les objectifs sont inférieurs aux obligations légales que doivent respecter les collectivités : le groupe ACES l'a donc attaqué au tribunal administratif, quand Mme Menhaouara l'a voté !?!
Mme Menhaouara et ses amis ont voté POUR tous les budgets intercommunaux qui défavorisent pourtant les Bezonnais : ils n'ont qu'une ambition, celle de ramasser les quelques miettes que leur octroieront M. Pierre Fond et ses complices.
Enfin, le président de l'agglomération et plusieurs de ses vice-présidents ont eu à de nombreuses reprises des propos extrêmement déplacés et sexuellement tendancieux à l'égard de notre présidente de groupe Isabelle Amaglio-Térisse ; M. Frédéric Faravel les a déjà prévenus que cette situation ne devrait se reproduire en aucun cas. Mme Menhaouara qui se prétend pourtant une grande défenseure de la cause des femmes a défendu hier soir ces élus odieux, pointant du doigt un autre élu, qui bien que défendant des positions de droite extrême n'a pas eu le même comportement déplacé... jusqu'où va sa servilité !?!
Las, comme c'est la faute des autres, Mme Menhaouara a encore ressassé les débats qui ont conduit à l'explosion de l'agglomération d'Argenteuil-Bezons, au refus de rejoindre la Métropole du Grand Paris qui aurait dépossédé Bezons de la maîtrise de son aménagement urbain, accusant au passage Mme Florelle Prio d'une responsabilité qu'elle n'avait pas. Nous lui adressons toute notre solidarité et nous savons qu'elle saura répondre à cette odieuse mise en cause.
🏫🏗Nous avons exprimé notre incompréhension face à la convention de transfert de maîtrise d'ouvrage entre Bezons et le département du Val d'Oise pour la démolition des bâtiments existants et le désamiantage du lycée du Grand-Cerf💸
Il semblerait donc qu'en 1984 le transfert de la propriété des bâtiments vers la Région ne se soit pas faite sans que personne ne s'en aperçoive. C'est en soi étonnant, mais admettons une défaillance des élus et services voici 40 ans, que nous ne pouvons réparer aujourd'hui, les délais de recours étant depuis longtemps dépassés. Cependant, Mme Menhaouara a expliqué que cette situation avait été découverte voici un an ; chacun sachant que ces bâtiments avaient un problème d'amiante, elle affirme avoir alors vérifié comment faire pour corriger la défaillance de 1984 et n'avoir soumis hier soir cette convention qui va coûter aux Bezonnais quelques 900.000 euros (merci les augmentations d'impôts) qu'une fois épuisées toutes les vérifications. Nous nous inscrivons en faux devant cette version bisounours des faits : cela fait des années que Mme Menhaouara prétend être à l'ouvrage comme conseillère départementale puis comme maire pour un 3e collège. Personne ne s'opposera à un 3e collège à Bezons, mais elle ne peut pas faire croire qu'elle a découvert aussi tardivement que la propriété des bâtiments de l'ancien lycée du Grand-Cerf était communale !?! Il y a 3 ans quand elle a présenté le dossier, elle le savait déjà ; elle refusait de le faire savoir et elle a préféré cacher jusqu'au dernier moment un surcoût de près d'un million d'euros pour la ville ! Nous avons vu passer plusieurs délibérations chaque année sur le 3e collège ; voici encore quelques mois elle ne nous a informés en aucun cas de ce problème de propriété des bâtiments alors qu'elle nous a avoué mercredi soir qu'elle le savait déjà : c'est une démonstration qu'elle a délibérément cherché à cacher la vérité, afin de cacher le coût réel du projet. C'est un des graves défauts de Mme Menhaouara, elle préfère présenter des dossiers incomplets aux élus plutôt qu'ils disposent de tous les éléments pour se prononcer. Ici encore, Mme Menhaouara n'a qu'un mot à la bouche : c'est la faute des autres.
✅Nous avons voté pour la demande d'obtention du label "500 petits patrimoines naturels en Île-de-France" pour le square Yves-Morel🌷
Mais là encore il a fallu pousser dans leurs retranchements Mmes Menhaouara et Boudeau pour qu'elles expliquent les tenants et les aboutissants du projet.
😡Marché Le Temps des Cerises de Bezons🍒
Nous avons refusé de prendre acte du rapport d'activité 2023 de l'ex-concessionnaire Mandon qui gère mal, très mal, notre marché communal depuis des années. Mme Menhaouara avait accusé les élus précédemment en charge du dossier d'avoir géré de manière trop agressive la relation avec le concessionnaire : avec elle, tout irait mieux… 4 ans après, on constate le résultat ! Le Marché s'effondre et nous sommes dans une situation de crise, sans concessionnaire pour gérer le marché, la ville payant au fil de l'eau un placier pour parer au plus pressé ; sans perspective puisque dans le petit milieu des concessionnaires, il semble bien que chacun s'arrange soit pour faire pression sur les collectivités soit pour s'accorder sur la répartition du territoire. Mme Menhaouara m'a à nouveau accusé de faire de la diffamation : reconnaissons qu'elle ne sait pas ce que c'est, qu'elle n'y connait rien, elle a déjà porté plainte contre moi pour diffamation et a perdu son procès (et ce sont les Bezonnais qui ont payé l'avocat pour elle) !
En attendant, devant un dossier vide (oui il n'y avait aucune pièce dans le dossier de délibération, rien d'autre que le récit que la maire avait souhaité écrire), j'ai refusé de voter pour la déclaration sans suite de la consultation relative à la concession de service public portant sur la gestion et l'exploitation du marché communal "Au temps des cerises". Il est temps que Mme Menhaouara obtempère et réponde aux demandes des élus d'opposition que j'ai réaffirmées mercredi soir : quel est le régime juridique sous lequel est géré le marché de Bezons depuis mai dernier et le retrait unilatéral de Mandon ? où sont les décisions courantes que nous devrions trouver dans les actes administratifs et qui n'apparaissent nulle part ? comment sont perçus les encaissements (cela doit forcément passer par le trésor public) ? est-ce un régime de régie temporaire alors qu'elle refuse la perspective d'une gestion en régie publique qui lui permettrait d'avoir un rapport de force contre l'entente des concessionnaires ? or pour un fonctionnement en régie nous aurions dû voter une délibération en ce sens, ce qui n'a pas été le cas… Si c'est un placier, où est la copie du marché de gré à gré ? Pourquoi Mme Menhaouara refuse-t-elle d'apporter des réponses à ces questions qui avaient déjà été posées en juin dernier et auxquelles elle s'était engagée à ce que les services répondent ? Plus de 4 mois après, nous attendons encore. Qu'est-ce que Mme Menhaouara a à cacher ?
En attendant le Marché de Bezons va mal, chacun est capable de s'en rendre compte… Et s'il va mal c'est d'abord et avant tout de la responsabilité de Mme Menhaouara qui a traité le dossier avec légèreté… mais là encore on nous dira que c'est … la faute des autres…
🧹Privatisation du service Propreté de la ville de Bezons🧹
Une décision courante de la Maire, une mise à disposition d'un agent communal pour AZUR et un tableau de créations et de suppressions de postes sont venus parachever la stratégie de privatisation rampante du service propreté de la commune… J'ai fait remarquer justement dès le dossier 11 qu'il était cocasse qu'après avoir privatisé le service, la ville doive mettre à disposition d'AZUR un agent pour surveiller que la société privée faisait son travail : on marche sur la tête ! J'ai aussi fait remarquer qu'il ne fallait pas être piégé par la présentation du dossier de création et de suppression de postes qui semble présenter un poste en plus : depuis 2020, 10 postes ont été laissés vacants sans qu'ils soient remplacés ! Depuis 2020, Mme Menhaouara a une stratégie : celle de justifier une privatisation rampante, et c'est ainsi qu'elle a sciemment choisi de dégrader la propreté dans la ville en ne donnant pas les moyens aux services pour faire correctement leur travail (on a tous vu passer les délibérations pour des machines cassées qui n'ont pas été remplacées) ; la cerise sur le gâteau ce fut quand les pseudo élus écologistes menhaouariens ont accusé les Bezonnaises et les Bezonnais d'être sales et de ne pas faire d'effort, quand par l'action de l'équipe municipale ils avait laissé la situation se dégrader. Quand une ville est sale, quand une ville voit son image se dégrader, bizarrement cela incite certains à jeter plus de détritus. Mais là encore, c'est la faute des autres (et c'est même DE VOTRE FAUTE).
👺Nous avons voté pour la mise à disposition de personnel communal auprès du Centre Communal d'Action Sociale de la commune de Bezons.👻
C'est une délibération technique qui doit se produire tous les 3 ans. Je me suis étonné qu'une telle délibération n'ait pas été prise voici 3 ans, M. Cuvillier a expliqué que c'était la faute de l'équipe d'avant et qu'ils avaient découvert cela récemment. Encore une fois, le chevalier blanc premier adjoint vole au secours de la légalité... nous avons appris depuis que M. Cuvillier a sans doute explicitement menti en conseil municipal mercredi soir, puisque plusieurs sources différentes ont informé notre collectif que cette situation avait été soulevée il y a plus de 3 ans (y compris en en discutant avec des agents du CCAS) et qu'à l'époque Mme Menhaouara et M. Cuvillier n'avaient rien voulu faire🤡... C'est donc la faute des autres, ils ont franchement bon dos, les autres.
On aura donc rarement vu un conseil municipal aussi lunaire depuis 4 ans… évidemment, il y a tous ceux où la maire s'est mis à hurler sans raison… mais là pendant 3 heures et demi, nous avons eu droit à une équipe et une maire qui se sont systématiquement défaussés de toutes leurs responsabilités : voici PLUS DE QUATRE ANS qu'ils sont aux affaires et ils ne sont responsables de rien !??
Alors s'ils sont à ce point irresponsables, proposons leur d'être délivrés : en 2026, mettons les hors de l'Hôtel de ville. Ils seront sûrement soulagés … et les Bezonnais aussi !
Frédéric Faravel
Conseiller municipal et communautaire Gauche Républicaine et Socialiste
Président du collectif citoyen Vivons Bezons, pour un groupe des élus communistes, socialistes & républicain