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sur l'auteur

Je m'appelle Frédéric Faravel. Je suis né le 11 février 1974 à Sarcelles dans le Val-d'Oise. Je vis à Bezons dans le Val-d'Oise. Militant socialiste au sein de la Gauche Républicaine & Socialiste. Vous pouvez aussi consulter ma chaîne YouTube. J'anime aussi le groupe d'opposition municipale de gauche "Vivons Bezons" et je suis membre du groupe d'opposition de gauche ACES à la communauté d'agglomération Saint-Germain/Boucle-de-Seine.
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Gauche Républicaine & Socialiste

3 juillet 2007 2 03 /07 /juillet /2007 09:14
décomplexée on vous dit...
La police de proximité c'était de la merde, mais maintenant on a le droit de faire le contraire pourvu qu'on change l'intitulé... 
En Seine-Saint-Denis, Michèle Alliot-Marie plaide pour une "police localisée"
LEMONDE.FR avec AFP | 03.07.07 | 09h43  •  Mis à jour le 03.07.07 | 09h53

our la première "réunion de cohésion" en Seine-Saint-Denis, dont elle avait annoncé la tenue après la publication d'un rapport en décembre 2006 évoquant un "climat d'insécurité permanent" dans ce département, Mme Alliot-Marie a rencontré pendant plus de 2 heures des élus locaux et des responsables d'associations à Montfermeil, lundi 2 juillet. A cette occasion, la ministre de l'intérieur s'est prononcée en faveur de l'instauration d'une "police localisée, une police qui connaît les principaux responsables" de la délinquance.Interrogée, notamment par le maire UMP de Montfermeil, sur la disparition de la police de proximité, la ministre a rappelé avoir "toujours dénoncé une police qui consiste à faire autre chose (...) que le travail de police, par exemple jouer au foot avec les jeunes". "Or chacun doit être dans le cadre de ses responsabilités", a-t-elle jugé. Elle a cependant reconnu que, pour être efficace, la police doit être"depuis un certain temps sur une zone géographique qu'[elle] connaît".

"LES PREMIERS CONCERNÉS N'ONT PAS PRIS LA PAROLE"

Des responsables du collectif AC le feu ont regretté que les policiers ne se soient pas exprimés. "On était là à parler du rapport police-citoyens-jeunes et les premiers concernés n'ont pas pris la parole, n'ont pas exprimé leur ressenti alors qu'on leur tendait une perche, c'est dommage", a ainsi constaté Fatima Henry.

Répondant à un participant qui estimait que le problème était "surtout celui de l'insécurité sociale", Mme Alliot-Marie a annoncé la tenue de "plusieurs autres réunions dans d'autres villes du département, probablement [avec] trois ou quatre autres ministres du gouvernement".

 

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