Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

sur l'auteur

Je m'appelle Frédéric Faravel. Je suis né le 11 février 1974 à Sarcelles dans le Val-d'Oise. Je vis à Bezons dans le Val-d'Oise. Militant socialiste au sein de la Gauche Républicaine & Socialiste. Vous pouvez aussi consulter ma chaîne YouTube. J'anime aussi le groupe d'opposition municipale de gauche "Vivons Bezons" et je suis membre du groupe d'opposition de gauche ACES à la communauté d'agglomération Saint-Germain/Boucle-de-Seine.
Me contacter

en savoir plus

 

Trouve

Gauche Républicaine & Socialiste

17 octobre 2007 3 17 /10 /octobre /2007 09:09

PS : Hubert Védrine défend le droit "d'inventaire"
NOUVELOBS.COM | 16.10.2007 | 18:40

L'ancien ministre socialiste, interrogé sur nouvelobs.com sur les critiques à l'égard de Ségolène Royal, a expliqué : "Ce ne sont pas des insultes mais un processus certes pénible mais salutaire".

Hubert Védrine (Sipa)

Hubert Védrine (Sipa)

Le socialiste Hubert Védrine a souhaité mardi 16 octobre que "l'inventaire" du Parti socialiste "se fasse sans fausse unanimité, sans fausse amitié et sans tabous". L'ancien ministre PS des Affaires étrangères était interrogé sur nouvelobs.com sur les "insultes", selon un internaute, proférées à l'égard de Ségolène Royal, l'ancienne candidate PS à l'élection présidentielle. "Dans l'état où est le PS", a expliqué Hubert Védrine, "cela ne me choque pas que l'inventaire sur le passé et la campagne, et les analyses sur l'avenir se fassent sans fausse unanimité, sans fausse amitié et sans tabous". "Ce ne sont pas des insultes", a-t-il indiqué, "mais un processus certes pénible mais salutaire". "Cela permettra une décantation", a-t-il conclu.

"Je n'ai rien abandonné de mes convictions"
Hubert Védrine a par ailleurs précisé pourquoi il avait accepté la proposition de Nicolas Sarkozy de rédiger un "rapport sur la France et la mondialisation". "Je n'ai pas été dans une 'commission'", a-t-il indiqué sur les forums de nouvelobs.com. "J'ai donné mon avis -public- à Nicolas Sarkozy, comme je l'ai donné à d'autres chefs d'Etat", a ajouté Hubert Védrine, précisant qu'il "n'avait rien abandonné de ses convictions".
Interrogé par un internaute sur son éventuelle participation au gouvernement de François Fillon, le socialiste a rappelé qu'il avait refusé cette proposition car "politiquement", il "ne se voyait pas dans ce gouvernement".
Partager cet article
Repost0

commentaires