5 février 2008
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10:19
Pour l'instant, la campagne des primaires, tant chez les Républicains que chez les Démocrates semble reprendre la logique du scénario de la sixième saison de la série "The West Wing", à la grosse différence prêt que le sortant n'est pas Démocrate.
Après une forte montée des religieux dans la campagne républicaine, marquant une nouvelle fois la puissance de la droite conservatrice chrétienne sur le GOP, c'est un candidat recentré qui va sortir du chapeau (mais pas celui que l'on pensait, puisque McCain a doublé rapidement Giulianni qui n'a finalement jamais émergé) avec sans doute un colistier qui sera là pour représenter l'aile conservatrice.
Chez les Libéraux, la favorite rencontre des difficultés, le candidat du changement radical (Latino dans la série, à gauche, mais pragmatique) émerge peu à peu... Barack Obama, métis, mais n'ayant pas pour autant le background des afro-américains, semble représenter ce changement radical ; il est monté plus vite que le fictionnel Latino de West Wing mais la désignation sera serrée jusqu'à la dernière minute et la convention démocrate risque d'être tapageuse (moins que dans la série cependant). Les primaires finiront-elles comme la sixième saison ? par l'alliance de la radicalité et du changement avec l'expérience ? tous appellent de leurs voeux désormais un ticket avec les deux finalistes démocrates... La position d'Edwards sera pourtant déterminante.
Et surtout, la question majeure, c'est de savoir si l'élection réelle se terminera comme la septième saison.
Après une forte montée des religieux dans la campagne républicaine, marquant une nouvelle fois la puissance de la droite conservatrice chrétienne sur le GOP, c'est un candidat recentré qui va sortir du chapeau (mais pas celui que l'on pensait, puisque McCain a doublé rapidement Giulianni qui n'a finalement jamais émergé) avec sans doute un colistier qui sera là pour représenter l'aile conservatrice.
Chez les Libéraux, la favorite rencontre des difficultés, le candidat du changement radical (Latino dans la série, à gauche, mais pragmatique) émerge peu à peu... Barack Obama, métis, mais n'ayant pas pour autant le background des afro-américains, semble représenter ce changement radical ; il est monté plus vite que le fictionnel Latino de West Wing mais la désignation sera serrée jusqu'à la dernière minute et la convention démocrate risque d'être tapageuse (moins que dans la série cependant). Les primaires finiront-elles comme la sixième saison ? par l'alliance de la radicalité et du changement avec l'expérience ? tous appellent de leurs voeux désormais un ticket avec les deux finalistes démocrates... La position d'Edwards sera pourtant déterminante.
Et surtout, la question majeure, c'est de savoir si l'élection réelle se terminera comme la septième saison.
Fred