Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

sur l'auteur

Je m'appelle Frédéric Faravel. Je suis né le 11 février 1974 à Sarcelles dans le Val-d'Oise. Je vis à Bezons dans le Val-d'Oise. Militant socialiste au sein de la Gauche Républicaine & Socialiste. Vous pouvez aussi consulter ma chaîne YouTube. J'anime aussi le groupe d'opposition municipale de gauche "Vivons Bezons" et je suis membre du groupe d'opposition de gauche ACES à la communauté d'agglomération Saint-Germain/Boucle-de-Seine.
Me contacter

en savoir plus

 

Trouve

Gauche Républicaine & Socialiste

26 février 2008 2 26 /02 /février /2008 14:06

Benoit Hamon invité de I>Télé
Vidéo envoyée par Nouveau-PS

Benoît Hamon était face à Jérôme Chartier (UMP) pour répondre à la question posée par Jean-Jérôme Bertolus sur I>Télé : "Le président perd-il son sang froid ?"

La Chronique de Stéphane Guillon lors du 7/10 de France Inter le mardi 26 février 2008

L'interview de Sarkozy aux lecteurs du Parisien trafiquée par l'Elysée
Samedi au Salon de l'agriculture. Photo AFP
 
 
Selon le directeur de la rédaction du quotidien, la phrase de regret du Président à propos de son altercation avec un visiteur du salon de l'agriculture a été rajoutée à la relecture de l'entretien.
 
philippe brochen
 
LIBERATION.FR : mardi 26 février 2008

Oui, à la lectrice du Parisien qui comparait les paroles du Président au coup de boule de Zidane en finale de la Coupe du monde de foot, Nicolas Sarkozy a répondu: «Il est difficile même quand on est Président de ne pas répondre à une insulte. J'ai sans doute les défauts de mes qualités. Ce n'est pas parce qu'on est le Président qu'on devient quelqu'un sur lequel on peut s'essuyer les pieds.» Non, Nicolas Sarkozy n'a pas dit: «Cela étant, j'aurais mieux fait de ne pas lui répondre», qui figure pourtant dans la même réponse. C'est ce qu'a révélé le directeur de la rédaction du Parisien, ce matin sur Canal+. «Cette phrase n'a pas été prononcée», a expliqué Dominique de Montvalon.
 

Ce rajout à l'entretien a été fait par l'Elysée à qui, comme toujours dans pareil exercice, l'interview avait été adressée pour «vérification» avant publication. Seulement voilà, les conseillers du Président ne se sont pas contentés de vérifier les dires de leur patron, ils se sont aussi autorisés à compléter la réponse faite par le Président. Avec l'aval de Nicolas Sarkozy? On peut l'imaginer.

 

Sur Canal+, Dominique de Montvalon a expliqué qu'il révèle cet ajout par respect à ses lecteurs qui ont interviewé le chef de l'Etat: «Ils retrouvent dans le journal quelque chose que le Président n'a pas dit, qu'ils n'ont pas entendu.» Le Parisien annonce qu'il publiera demain mercredi la version non amendée de l'interview.

 

Il y a peu, la rédaction de Libération avait eu la surprise de constater, au retour de relecture d'un entretien avec Bernard Laporte par ses conseillers, qu'une question et une réponse avaient été rajoutés par le cabinet du secrétaire d'Etat aux Sports. Une première dans l'histoire de Libération.

Partager cet article
Repost0

commentaires