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sur l'auteur

Je m'appelle Frédéric Faravel. Je suis né le 11 février 1974 à Sarcelles dans le Val-d'Oise. Je vis à Bezons dans le Val-d'Oise. Militant socialiste au sein de la Gauche Républicaine & Socialiste. Vous pouvez aussi consulter ma chaîne YouTube. J'anime aussi le groupe d'opposition municipale de gauche "Vivons Bezons" et je suis membre du groupe d'opposition de gauche ACES à la communauté d'agglomération Saint-Germain/Boucle-de-Seine.
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Gauche Républicaine & Socialiste

4 octobre 2006 3 04 /10 /octobre /2006 10:35
DSK raille ceux qui refusent le débat
A ceux qui "craignent que le débat abîme le candidat" Dominique Strauss-Kahn rappelle qu'il faudra bien "aller débattre avec Nicolas Sarkozy dans la vraie élection".


Dominique Strauss-Kahn (Sipa)
 
 

"Il faut du débat", a martelé mercredi 4 octobre le candidat à l'investiture socialiste Dominique Strauss-Kahn, rappelant à ceux qui "craignent que le débat abîme le candidat" qu'il faudra "aller débattre avec Nicolas Sarkozy dans la vraie élection".
"Plus il y aura du débat, plus le débat sera du face-à-face, plus je serai content", a lancé Dominique Strauss-Kahn sur France-Inter. "Plus le débat sera masqué et évité, moins ce sera bon. Le débat nous enrichit."
"Certains craignent que le débat n'abîme le candidat", a-t-il relevé. Mais "si on craint d'être abîmé par le débat, il ne faut pas aller débattre avec Nicolas Sarkozy dans la vraie élection" présidentielle.

Six débats
Les adversaires socialistes de Ségolène Royal ont accusé la candidate d'être réticente aux débats internes au sein du PS. Elle a toutefois accepté que 6 débats soient organisés pendant les 6 semaines de la compétition interne au PS.
Dominique Strauss-Kahn a précisé qu'il n'était toujours "pas rassuré sur les conditions du débat" à l'intérieur du parti. Interrogé sur l'attitude du Premier secrétaire du Parti socialiste François Hollande, compagnon de Ségolène Royal, le candidat a souhaité "qu'il s'investisse massivement" dans l'organisation de ces débats pour en garantir l'impartialité. "Ce sont des problèmes que je crois secondaires", a-t-il néanmoins ajouté. (AP)
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