18 janvier 2007
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Illustration caricaturale des conséquences de l'organisation de campagne de Ségolène Royal ; alors qu'il faudrait s'appuyer sur la force du Parti socialiste, ses réseaux et profiter de l'ouverture des derniers mois, on assiste à un resserrement des seuls proches et ralliés opportunistes lors de la campagne interne.
Rappelons que Ségolène Royal est désormais la candidate de tous les socialistes, radicaux de gauche et républicains-citoyens... Si le BN est le conseil politique de la campagne, on voit bien la difficulté d'articulation avec "Désirs d'avenir", ovni associativo-supporter monté et instrumentalisé par quelques Iznogoud locaux du PS qui trouvaient que leur carrière n'avançaient pas assez vite.
Cela ressemble donc à un règlement de compte ou des coups de billards à 15 bandes pour savoir qui sera le mieux placé dans le futur courant de la présidente... C'est ce qui explique sans doute la sortie désastreuse d'Arnaud Montebourg, qui s'est laissé emporté sur le nuage qu'il a escaladé depuis août 2006.
Faut-il rappelé qu'avant qu'il y ait un courant de la présidente, il faudrait qu'on réussisse à la faire élire ? C'est notre seul objectif ! Il est temps que Ségolène resaisisse ses équipes et les raccroche à la direction du Parti en meilleure intelligence avec le premier secrétaire, François Hollande... Nous pouvons encore donner à la France une présidente de la République, si nous savons surmonter cette bêtise, l'épisode sur l'ISF a montré que nous avions de la ressource.
Rappelons que Ségolène Royal est désormais la candidate de tous les socialistes, radicaux de gauche et républicains-citoyens... Si le BN est le conseil politique de la campagne, on voit bien la difficulté d'articulation avec "Désirs d'avenir", ovni associativo-supporter monté et instrumentalisé par quelques Iznogoud locaux du PS qui trouvaient que leur carrière n'avançaient pas assez vite.
Cela ressemble donc à un règlement de compte ou des coups de billards à 15 bandes pour savoir qui sera le mieux placé dans le futur courant de la présidente... C'est ce qui explique sans doute la sortie désastreuse d'Arnaud Montebourg, qui s'est laissé emporté sur le nuage qu'il a escaladé depuis août 2006.
Faut-il rappelé qu'avant qu'il y ait un courant de la présidente, il faudrait qu'on réussisse à la faire élire ? C'est notre seul objectif ! Il est temps que Ségolène resaisisse ses équipes et les raccroche à la direction du Parti en meilleure intelligence avec le premier secrétaire, François Hollande... Nous pouvons encore donner à la France une présidente de la République, si nous savons surmonter cette bêtise, l'épisode sur l'ISF a montré que nous avions de la ressource.
Frédéric FARAVEL
Interrogé, mercredi soir, sur le plateau du Grand Journal de Canal+, sur le principal défaut de la candidate socialiste dans la course à l'Elysée, Arnaud Montebourg avait répondu : "Ségolène Royal n'a qu'un seul défaut, son compagnon".