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sur l'auteur

Je m'appelle Frédéric Faravel. Je suis né le 11 février 1974 à Sarcelles dans le Val-d'Oise. Je vis à Bezons dans le Val-d'Oise. Militant socialiste au sein de la Gauche Républicaine & Socialiste. Vous pouvez aussi consulter ma chaîne YouTube. J'anime aussi le groupe d'opposition municipale de gauche "Vivons Bezons" et je suis membre du groupe d'opposition de gauche ACES à la communauté d'agglomération Saint-Germain/Boucle-de-Seine.
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Gauche Républicaine & Socialiste

4 octobre 2023 3 04 /10 /octobre /2023 17:15

Nous avons dénoncé les tarifs prohibitifs du système de vélo à assistance électrique en libre service, expérimenté depuis plus d'un an. C'est en réalité un affichage politique sans sérieux de la part de l'agglomération : l'équipe municipale et notamment Monsieur Christian Hoerner (autre adepte du retournement de veste) n'ont visiblement pas travaillé le dossier, se contentant très explicitement de passer les plats sans maîtriser le dossier. 2,30€ pour 10mn, c'est absolument délirant. La réalité c'est que la ville n'a fait aucun effort depuis 3 ans dans ce dossier : rien sur les pistes cyclables pour faciliter la mobilité, rien pour permettre aux Bezonnais de prendre le vélo plutôt que la voiture ou le tram pour aller à La Défense, aucune subvention municipale pour baisser le coût de tels dispositifs : y a pas de secrets c'est comme cela que cela marche pour faire baisser les prix aux usagers !

Frédéric FARAVEL
Conseiller municipal et communautaire Gauche Républicaine et Socialiste (GRS) de Bezons
Président de "Vivons Bezons, le groupe des élus communistes, socialistes & républicains"
Animateur national du pôle Idées, formation, riposte de la GRS

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3 octobre 2023 2 03 /10 /octobre /2023 10:10

Lors du conseil municipal du 27 septembre, nous avons voté contre le budget supplémentaire présenté hier soir. Bien sûr, il est naturel d'ajuster les crédits après les émeutes et les dégradations inacceptables commises à la fin du mois de juin ; bien sûr il faut intégrer la progression (faible) des salaires des agents publics et dénoncer l'insuffisante compensation par l'Etat... Mais le dossier présenté hier soir ne manquait pas d'air :
🚫voici 2 ans que nous alertons sur les difficultés sociales grandissantes de nombreux Bezonnais(es), que nous disons qu'il faut renforcer le budget du CCAS alors que l'équipe Menhaouara l'avait baissé en 2022... ils sont obligés aujourd'hui de l'augmenter, mais ils nous ont avoué que ce n'était même pas pour renforcer la politique sociale mais pour s'adapter au prix de l'énergie qui pèse sur le CCAS : affligeant !
🎭Ils ont également aussi osé présenter l'augmentation de la subvention versée au Théâtre Paul Eluard comme une décision pour faire face à de dépenses nouvelles : mensonges ! C'est simplement le résultat de leur politique absurde : en refusant de reconduire le conventionnement du #TPE comme "scène d'intérêt national", ils l'ont privé de plus de 100.000€ de subventions d'Etat, de la DRAC et des collectivités... Et ils doivent le compenser aujourd'hui en prenant dans le budget municipal : ils ont été incapables de réfuter cet argument. Nous jugerons pour le reste la saison 2023-2024 qui commence bien tard (là aussi à cause de leur politique consternante) sur pied.
🚫Ils ne peuvent pas non plus expliquer qu'ils mettent en avant la politique sociale, puisque malgré leurs protestations, ils ont dans leurs explications fait la démonstration qu'en 3 ans de mandat ils n'avaient rien fait de sérieux pour éviter le naufrage de la Régie de Quartier (très mal gérée, effectivement) qui vient d'être liquidée le 19 septembre. Ils ont été incapables d'expliquer quelles actions ils mettraient en œuvre pour reprendre une politique d'insertion.
⚠️En fin d'intervention, j'ai rappelé à Mme Menhaouara à quel point elle était en défaut sur ses responsabilités. En effet, en début de conseil, la Maire, interrogée par Mme Marjorie Noël, a encore une fois minimisé l'agression dont s'est rendue coupable son directeur de cabinet sur Arnaud Gibert, lors du précédent conseil municipal, prétextant que ce n'était pas son affaire à partir du moment où les faits se sont produits hors de la salle du conseil. Se défaussant trop facilement en invoquant la présence de plusieurs adolescents dans la salle, je l'ai donc reprise : qu'une Maire ose balayer ainsi d'un revers de main des faits d'une telle gravité commis par son directeur de cabinet EN FONCTION sur un élu municipal EN FONCTION - peu importe le lieu, ce serait partout inacceptable - tout cela devant des jeunes du club de prévention présents dans la salle du conseil, voilà qui est tout à la fois scandaleux et irresponsable.

Frédéric Faravel
Conseiller municipal et communautaire Gauche Républicaine et Socialiste (GRS) de Bezons
Président de "Vivons Bezons, le groupe des élus communistes, socialistes & républicains"
Animateur national du pôle Idées, formation, riposte de la GRS

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2 octobre 2023 1 02 /10 /octobre /2023 15:45

Le mercredi 27 septembre, en fin de conseil municipal, je suis intervenu sur le dossier qui nous demandait d'approuver le "projet de santé" de l'équipe municipale. Nous avons travaillé ce dossier de manière approfondie avec Florelle Prio.

Or à notre grande surprise, nous avons découvert un document avec des lacunes catastrophiques qui risquent de décrédibiliser la commune face à ses partenaires sanitaires comme l'Agence Régionale de Santé Île-de-France. Alors que la désertification médicale s'aggrave depuis 2020, aucune action n'a été inscrite pour indiquer comment la commune comptait la faire reculer. Aucune action inscrite non plus pour essayer de résoudre la baisse du nombre de spécialistes et de médecins généralistes au sein du Centre Municipal de Santé. La qualité de maîtrise de stage pour les internes semble avoir disparu !?! Les établissements hospitaliers à proximité de Bezons ne sont même pas cités parmi les partenaires de la commune pour ce projet de santé !?! Ce n'est qu'une petite partie des manques de ce dossier. On a tenté de nous prendre pour des imbéciles (jetez un œil à la vidéo vers 6mn 35s).

Mmes Menhaouara et Rodde ont fait preuve sur ce sujet - comme sur d'autres - d'une négligence dramatique qui démontre à quel point cette équipe se moque des réalités quotidiennes des Bezonnais(es) : or l'accès à la santé, surtout pour les plus modestes de nos voisins, est un enjeu vital et essentiel.

Nous y travaillerons avec vous pour tenter de corriger les dégâts commis par cette équipe irresponsable.

Frédéric Faravel
Conseiller municipal et communautaire Gauche Républicaine et Socialiste (GRS) de Bezons
Président de "Vivons Bezons, le groupe des élus communistes socialistes & républicains"
Animateur national du pôle Idées, formation et riposte de la GRS

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28 septembre 2023 4 28 /09 /septembre /2023 11:05

Le conseil municipal qui s'est tenu hier soir n'a malheureusement pas dépareillé avec les précédents. Mme Menhaouara s'est en effet encore illustrée en refusant de donner la parole à plusieurs élus de l'opposition en irrégularité totale avec le règlement intérieur qu'elle est pourtant chargée de faire respecter. Le programme était chargé et le conseil a duré 4h.

👵🧓 Un cabinet de conseil nantais nous a présenté le dossier de réhabilitation et d'extension du foyer Péronnet. C'est une action parfaitement nécessaire et que nous avions également prévue dans notre programme ; cependant on peut regretter que ce soit le consultant qui ait présenté un dossier que les élus de la majorité ne maîtrisaient visiblement pas. A la fin de la présentation, nous restons sur notre faim, puisque nous ne disposons d'aucun calendrier ni tableau de financement précis. Moment savoureux : Mme Aouchiche, adjointe à la Maire actuelle (après un fabuleux retournement de veste) et membre de la précédente équipe municipale, a indiqué que le foyer avait été insuffisamment entretenu précédemment oubliant de préciser que ce dossier était dans la délégation de Mme Michèle Vasic, actuelle et précédente adjointe au Maire... c'est donc toujours de la faute des autres même quand cela fait 9 ans que les mêmes personnes suivent ce dossier.

🟥 Carton rouge : la Maire, interrogée par Mme Noël, a encore une fois minimisé l'agression dont s'est rendue coupable son directeur de cabinet sur Arnaud Gibert, lors du précédent conseil municipal, prétextant que ce n'était pas son affaire à partir du moment où les faits se sont produits hors de la salle du conseil. Qu'une Maire ose balayer ainsi d'un revers de main des faits d'une telle gravité commis par son directeur de cabinet EN FONCTION sur un élu municipal EN FONCTION - peu importe le lieu, ce serait partout inacceptable - tout cela devant des jeunes du club de prévention présents dans la salle du conseil, voilà qui est tout à la fois scandaleux et irresponsable.

💸Nous avons voté contre le budget supplémentaire présenté hier soir. Bien sûr, il est naturel d'ajuster les crédits après les émeutes et les dégradations inacceptables commises à la fin du mois de juin ; bien sûr il faut intégrer la progression (faible) des salaires des agents publics et dénoncer l'insuffisante compensation par l'Etat... Mais le dossier présenté hier soir ne manquait pas d'air : voici 2 ans que nous alertons sur les difficultés sociales grandissantes de nombreux Bezonnais(es), que nous disons qu'il faut renforcer le budget du CCAS alors que l'équipe Menhaouara l'avait baissé en 2022... ils sont obligés aujourd'hui de l'augmenter, mais ils nous ont avoué que ce n'était même pas pour renforcer la politique sociale mais pour s'adapter au prix de l'énergie qui pèse sur le CCAS : affligeant ! 🎭Ils ont également aussi osé présenter l'augmentation de la subvention versée au Théâtre Paul-Eluard comme une décision pour faire face à de dépenses nouvelles : mensonges ! C'est simplement le résultat de leur politique absurde : en refusant de reconduire le conventionnement du TPE comme "scène d'intérêt national", ils l'ont privé de plus de 100.000€ de subventions d'Etat, de la DRAC et des collectivités... Et ils doivent le compenser aujourd'hui en prenant dans le budget municipal : ils ont été incapables de réfuter cet argument. Nous jugerons pour le reste la saison 2023-2024 qui commence bien tard (là aussi à cause de leur politique consternante) sur pied. Ils ne peuvent pas non plus expliquer qu'ils mettent en avant la politique sociale, puisque malgré leurs protestations, ils ont dans leurs explications fait la démonstration qu'en 3 ans de mandat il n'avait rien fait de sérieux pour éviter le naufrage de la Régie de Quartier (très mal gérée, effectivement) qui vient d'être liquidée le 19 septembre. Ils ont été incapables d'expliquer quelles actions ils mettraient en œuvre pour reprendre une politique d'insertion.

💢nous nous sommes abstenus sur l'adhésion de la Ville de Bezons à l'association "Centre-Ville en mouvement" ; non pas que notre centre ville, et notamment le cœur de ville en déshérence totale depuis que Mme Menhaouara est maire, n'ait pas besoin d'être accompagné, mais notre commune, comme tant d'autres, adhèrent à des tas de structures dont nous n'avons jamais de retours sur l'utilité réelle pour la Ville... Nous ne demandons qu'à être convaincu l'année prochaine lors du vote sur le renouvellement de l'adhésion à condition qu'on nous présente un bilan de l'action menée grâce à cette adhésion.

🌍Nous avons voté pour l'installation de 12 composteurs géants... Nous avons demandé les détails du fonctionnement pratique du projet, qui n'était pas précisé dans le dossier : nous voulions éviter les dérives et les abandons des précédentes expérimentations. Mme Boudeau nous a assurés que le dossier serait suivi de près avec des équipes municipales et pédagogiques notamment dans les écoles. Nous avons également demandé une action volontariste comme nous la défendons avec le groupe Alliance citoyenne écologiste et solidaire au sein du conseil communautaire, pour une distribution gratuite de composteurs individuels aux foyers volontaires : les tarifs de l'agglomération sont aujourd'hui trop élevés pour beaucoup de familles bezonnaises qui doivent arbitrer chaque centime avec l'inflation.

🚲 Nous avons dénoncé les tarifs prohibitifs du système de vélo à assistance électrique en libre service, expérimenté depuis plus d'un an, avec une délégation de service public à la société TIER. C'est en réalité un affichage politique sans sérieux de la part de l'agglomération : l'équipe municipale et notamment Monsieur Christian Hoerner (autre adepte du retournement de veste) n'ont visiblement pas travaillé le dossier, se contentant très explicitement de passer les plats sans maîtriser le dossier. 2,30€ pour 10mn, c'est absolument délirant. La réalité c'est que la ville n'a fait aucun effort depuis 3 ans dans ce dossier : rien sur les pistes cyclables pour faciliter la mobilité, rien pour permettre aux Bezonnais de prendre le vélo plutôt que la voiture ou le tram pour aller à La Défense, aucune subvention municipale pour baisser le coût de tels dispositifs : y a pas de secrets c'est comme cela que cela marche pour faire baisser les prix aux usagers !

nous avons refusé de prendre acte du rapport du SEDIF : ce "syndicat des eaux" choisit idéologiquement depuis des décennies de fonctionner en délégation de service public, la confiant à des géants financiers, qui utilisent l'eau comme une rente de situation pour se gaver sur le prix que payent les usagers... L'eau en Île-de-France coûte beaucoup plus que si elle était gérée en régie publique : c'est inacceptable.

nous avons refusé de prendre acte du rapport d'activité d'Agrival : c'est la structure qui gère le réseau de chauffage urbain et qui - parce qu'elle a vendu trop d'énergie à l'extérieur par simple volonté de bénéfices financiers - recoure à l'achat de gaz naturel alors que celui-ci nous a coûté très cher... une facture qui s'est retrouvée dans celles des habitants connectés au réseau de chaleur urbain rendant moins intéressant un dispositif qui aurait dû leur faire faire des économies. Mme Menhaouara s'est défaussée en expliquant que le syndicat s'était toujours acquitté de ses obligations contractuelles, ce que nous n'avons jamais mis en cause : nous refusons une logique qui, au regard des capacités de production, ne donne pas la priorité aux habitants. Aucune réponse ne nous a été apportée sur la nécessité d'améliorer le rendement et de réduire les fuites, deux sujets pourtant évoqués dans le rapport.

nous nous sommes abstenus sur le renouvellement pour 6 mois de la convention liant la commune au concessionnaire du Marché "Le temps des cerises" : cela fait 3 ans que Mme Menhaouara est aux affaires, 3 ans que l'on sait qu'il faut changer de convention et de concessionnaire, et elle nous explique qu'elle n'a pas eu le temps de le faire. Pas sérieux !

✅ nous avons apporté des votes positifs sur les activités sportives municipales, les CLAS, les règlements et livrets d'accueil du SIADD ou l'adhésion à l'agence numérique de santé.

🏥Nous avons par contre voté contre l'approbation du projet de santé : cela mérite une explication détaillée, nous y reviendrons donc dans une vidéo et un article très prochainement. Nous avons eu droit à un naufrage en direct : dossier non maîtrisé, enjeux totalement sous-estimés, besoins sous-évalués... plus nous avancions dans le débat, plus la Maire foudroyait du regard sa conseillère déléguée, au regard des arguments irréfutables que nous avancions.
Voilà notre position sur les principaux dossiers.

👮il faut signaler pour conclure le ridicule dont s'est couvert la Maire en demandant par autoritarisme à la police municipale de venir intervenir pour expulser un membre du public, qui avait parlé un peu trop fort à plusieurs reprises (c'est effectivement contre les règles). Au moment de l'arrivée des policiers municipaux, les deux directeurs généraux se sont précipités vers eux pour leur demander de ne pas exécuter cette consigne disproportionnée : heureusement qu'il y a des cadres de la fonction publique qui ont un peu la tête sur les épaules pour éviter de provoquer des incidents générés par l'irresponsabilité et le goût du pouvoir de Mme Menhaouara.

Frédéric FARAVEL
Conseiller municipal et communautaire Gauche Républicaine et Socialiste
Président de "Vivons Bezons, le groupe des élus communistes, socialistes & républicains"

Conseil municipal de Bezons : ça ne s'arrange pas !
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18 septembre 2023 1 18 /09 /septembre /2023 10:30

Hier sur la foire de Bezons, nous avons échangé avec vous en distribuant le 3e numéro de notre journal... Vous avez été nombreuses et nombreux à réclamer qu'il soit accessible sur facebook : vous le trouverez sur la page de "Vivons Bezons, le groupe des élus communistes, socialistes & républicains", mais aussi dans cet article aux formats image ou PDF !
Il dresse un bilan plus réaliste de l'action municipale depuis 3 ans, notamment en matière d'écologie et d'urbanisme, sujets phares qui illustrent les mensonges de campagne de Mme Menhaouara et de son équipe. Après avoir promis l'arrêt des projets immobiliers, elle multiplie les permis de construire et les projets pharaoniques qui par endroit en plus saccagent l'environnement : Albert-1er, Emile-Zola, square Yves-Morel... sans compter l'abattage invraisemblable d'arbres au parc Bettencourt et ceux annoncés au square de la République.

Lisez le, diffusez le... il arrivera bientôt dans les boîtes aux lettres des Bezonnais...

Au passage, notons qu'il est scandaleux d'utiliser lors de la foire de Bezons des agents municipaux pour affirmer des mensonges et relayer la propagande politique de Mme Menhaouara : il rentre tout à fait dans les missions d'un ou d'une agent municipal(e) de distribuer le bilan de mi-mandat ; par contre, il est grave de leur demander de relayer des mensonges, car il leur a été demandé d'affirmer que tous les permis de construire qui rentrent aujourd'hui en action avaient été signés avant juin 2020 : c'est faux, un permis de construire dure 3 ans, vous trouverez dans notre journal un échantillon non exhaustif des permis de construire signés par la seule et unique main de Mme Menhaouara... Le bétonnage, c'est Menhaouara.

Frédéric FARAVEL
conseiller municipal et communautaire de Bezons
président de "Vivons Bezons, le groupe des élus communistes, socialistes & républicains"
animateur national du pôle Idées, formation, riposte de la Gauche Républicaine et Socialiste (GRS)

Le 3e numéro de L'Echo, la gazette bezonnaise qui répliqueLe 3e numéro de L'Echo, la gazette bezonnaise qui réplique
Le 3e numéro de L'Echo, la gazette bezonnaise qui répliqueLe 3e numéro de L'Echo, la gazette bezonnaise qui réplique

Le 3e numéro de L'Echo, la gazette bezonnaise qui réplique

scannez le QR code pour participer avec nous à la préparation d'un projet pour Bezons, pour les Bezonnaises et les Bezonnais

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Le 3e numéro de L'Echo, la gazette bezonnaise qui réplique au format PDF

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4 septembre 2023 1 04 /09 /septembre /2023 13:59
Les difficultés vitales exprimées par les Les Restos du Cœur, mais aussi l’ensemble des organisations caritatives comme le Secours populaire ou Secours Catholique - Caritas France, marquent en réalité un triple échec des gouvernements français et de leurs politiques néolibérales croissantes.
 
1️⃣ l’échec de déléguer aux associations et aux collectivités la « gestion » de la pauvreté et de la faim… comme c'était pratique de demander à des réflexes de "charité chrétienne" améliorée (qu'importe la religion ici) pour camoufler la misère et faire édredon tout en se défaussant de ses responsabilités et en n'assumant plus vraiment le rôle de la République sociale !
 
2️⃣ l’échec de sa stratégie de réduire les crédits pour la solidarité… dans une république, on ne fait pas d’économies sur le malheur du monde !
 
3️⃣ l’échec annoncé, enfin, des politiques indignes de "retour à l’emploi" par la logique de punition (hein parce que pour Sarkozy, Hollande, Macron et Le Pen, finalement les chômeurs et les pauvres sont des fainéants) : la « baisse du chômage » devait faire reculer la pauvreté ? c’est surtout le nombre des Travailleurs pauvres et chômeurs pauvres qui augmente… l’inflation des prix alimentaires et de l’#énergie fait le reste.
Frédéric Faravel
Conseiller municipal et communautaire Gauche Républicaine et Socialiste de Bezons
Animateur national du pôle Idées, formation, riposte de Gauche Républicaine et Socialiste
La crise aux Restos du cœur le rappelle : la lutte contre la pauvreté n'est pas une affaire de charité
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24 août 2023 4 24 /08 /août /2023 17:56

Alors que les partis de gauche amorcent leur rentrée politique (malheureusement dans un contexte de polémique assez triste), j'ai co-rédigé et signé avec des universitaires, des parlementaires, des élus locaux, des militants associatifs et politiques cette tribune collective publiée hier mercredi 23 août 2023 à 17h57 dans le magazine Marianne. Ce texte appelle les militants et dirigeants de gauche à engager un long travail de reconquête idéologique. Et à reprendre le chemin trop longtemps abandonné de l'éducation populaire... C'est pour nous le seul moyen de faire à nouveau se correspondre un jour la majorité politique avec la majorité sociale populaire de notre pays, sans quoi la gauche sera incapable de revenir au pouvoir et surtout d'y agir pour transformer durablement et profondément la société.

Pour y contribuer, nous proposons un outil : l'université des possibles.

Je vous propose ci-dessous de lire cette tribune.

Frédéric Faravel
Conseiller municipal et communautaire de Bezons
Animateur national du pôle Idées, formation et riposte de la Gauche Républicaine et Socialiste

Université des possibles : “La gauche doit engager la reconquête populaire”

Dans cette tribune publiée à l’orée des universités d’été des partis de gauche, les signataires, élus et militants, intellectuels et associatifs, défendent l’initiative de l’ « Université des possibles » : engager la reconquête des classes populaires à gauche sur une ligne sociale et républicaine.

A quelques jours du début des universités d’été des partis de gauche, et quelques semaines après les émeutes qui ont déchiré le pays, il devient urgent pour la gauche de proposer une nouvelle vision du monde. La tension sociale, à bien des égards explosive, dans laquelle le chef de l’État a poussé le pays depuis la mobilisation contre la réforme des retraites et l’explosion sociale consécutive à la mort de Nahel ont de quoi inquiéter. À mesure que la France s’intègre dans la mondialisation néolibérale, les crises se succèdent (économique, sanitaire, environnementale…) avec ce qu’elles charrient de conséquences néfastes : délocalisation des industries, destruction des écosystèmes, casse des services publics pour financer les mesures d’”attractivité”…

L’EFFACEMENT DE LA GAUCHE DU DÉBAT PUBLIC

A chacune de ces crises on a prophétisé la fin du tout marché, le retour à la souveraineté nationale et à des mécanismes de régulation lorsque l’activité humaine se révèle prédatrice. La crise sanitaire et la mobilisation contre la réforme des retraites ont d’ailleurs toutes deux fait réémerger des thèmes chers à la gauche : relocalisation de l’activité économique, solidarité nationale et accès à des soins de qualité, nécessité de mener une transition écologique face au dérèglement climatique et à l’effondrement de la biodiversité.

Pourtant, la course à la concurrence généralisée est toujours aussi vive et les partis de gauche semblent incapables de transformer les colères populaires en espoirs d’un ordre social nouveau. En témoignent les sondages qui dépeignent le RN comme grand vainqueur de la réforme des retraites. Les ouvriers, pour la grande majorité d’entre eux, ne votent plus à gauche et les classes populaires ne s’identifient plus à elle depuis longtemps. Bien que la Nupes soit parvenue à éviter la déroute de la gauche aux élections législatives, rares sont les Français qui s’identifient encore aux partis de gauche. La base sociale des différentes organisations qui la composent donne trop souvent l’impression de se rétracter autour d’un entre-soi de diplômés urbains et de militants vieillissants.

SORTIR DE L’IMPUISSANCE

En focalisant leur attention sur la compétition électorale (avec des débats interminables sur l’opportunité de créer des coalitions qui perdent parfois tout sens politique), les partis de gauche ont arrêté de penser les mutations économiques, sociales et politiques de notre société et ne parviennent plus à proposer une « vision du monde » cohérente et crédible, en même temps qu’ils délaissent toute ambition en matière d’actions concrètes sur le terrain.

Dans une société en crise, où il est de bon ton d’exalter la réussite individuelle et de mépriser les solidarités collectives, il est temps de proposer un autre modèle. Certes la concentration de la majorité des médias français entre les mains de quelques milliardaires complexifie l’émergence de récits alternatifs. Mais le travail sur les représentations collectives est depuis longtemps délaissé au profit d’incantations rituelles à la lutte contre l’extrême droite. À l’inverse, les droites, celle du chef de l’État comme celle du Rassemblement national, bien que défendant les intérêts des classes dominantes, grandes gagnantes de la mondialisation financière, ont su jouer sur les peurs des Français et toucher les déclassés et les classes populaires.

Autrefois existait une contre société de gauche, qui se manifestait par une multitude d’associations (sportives, de soutien scolaire, de musique, de collecte alimentaire, etc…) présentes un peu partout sur le territoire. Un grand nombre de Français avait ainsi une expérience concrète de l’action menée par ces associations : concerts, tournois de foot, cours du soir, etc… Certaines de ces associations existent toujours mais se réduisent comme peau de chagrin en raison du peu d’attention portée à la construction et à l’ancrage social des organisations politiques. Le contrecoup de la révolution numérique a été un éloignement physique grandissant entre les représentants politiques et les citoyens et l’abandon progressif de toute action locale (hormis la diffusion de tracts et le collage d’affiches en période électorale). S’inscrire dans le temps long de la construction idéologique et de l’ancrage social, voilà les conditions d’un véritable renouveau à gauche.

RESTAURER LES CONDITIONS DE L’ESPÉRANCE

Ce sont les objectifs que nous nous fixons en créant dès septembre 2023 l’Université des Possibles. Rassemblant des élus et militants de gauche, intellectuels et associatifs, salariés du public comme du privé, l’Université des Possibles organisera des tables rondes, largement accessibles, et visant à répondre aux grands enjeux auxquels devra faire face le pays au cours du XXIe siècle : la réinvention du contrat républicain ; la transformation écologique et la démondialisation de l’économie ; la révolution féministe ; l’invention d’une nouvelle coopération internationale.

Soucieuse de renouer avec l’éducation populaire, et fidèle à l’héritage des universités itinérantes promues par Jean Jaurès, l’Université des Possibles organisera également des événements populaires (cafés débat, conférences, banquet populaire) sur l’ensemble du territoire national, dans les grandes villes comme dans la France périphérique et rurale. Au cours de la programmation pour l’année 2023-2024, l’université sera notamment présente à Marseille, Rochefort, aux Lilas, à Nantes, Lyon, Angers, Bordeaux, Toulouse, Mont-de-Marsan, Montélimar.

Construire une alternative à l’actuelle dérive autoritaire et libérale du chef de l’Etat est nécessaire : d’autres possibles existent pour répondre à la crise globale.

Le temps presse : pour réussir ensemble, unissons-nous !


Les premiers signataires (par ordre alphabétique) :

Bassem Asseh, PS, 1er adjoint de la maire de Nantes

Philippe Brun, Député PS de l’Eure

David Cayla, maître de conférences en économie à l’université d’Angers

Jean-François Collin, ancien haut-fonctionnaire

Jean-Numa Ducange, Professeur d’histoire contemporaine (Université de Rouen)

Frédéric Farah, économiste et enseignant à Paris 1

Frédéric Faravel, conseiller municipal et communautaire GRS de Bezons

Barbara Gomes, conseillère municipale de Paris, groupe Communiste et Citoyen

Hugo Guiraudou, directeur de publication du Temps des Ruptures

Liem Hoang Ngoc, ancien député européen, économiste et président de la Nouvelle Gauche Socialiste

Jean-Luc Laurent, Maire MRC du Kremlin-Bicêtre

Marie-Noëlle Lienemann, Sénatrice de Paris, co-fondatrice de la Gauche Républicaine et Socialiste, ancienne ministre

Emmanuel Maurel, Député européen, co-fondateur de la Gauche Républicaine et Socialiste

Benjamin Morel, maître de conférences en droit public à l’Université Paris II Panthéon-Assas

Arnaud de Morgny, directeur-adjoint du centre de recherche de l’école de guerre économique-cr451

David Muhlmann, essayiste et sociologue des organisations

Pierre Ouzoulias, Sénateur PCF des Hauts-de-Seine

Chloé Petat, co-rédactrice en chef du Temps des Ruptures

Christophe Ramaux, maître de conférence en économie à l’université Paris I

Laurence Rossignol, Sénatrice PS de l’Oise, ancienne ministre

Stéphanie Roza, chargée de recherche au CNRS, philosophe spécialiste des Lumières et de la Révolution française

Milan Sen, co-rédacteur en chef du Temps des Ruptures

Mickaël Vallet, Sénateur PS de Charente-Maritime

Université des possibles : “La gauche doit engager la reconquête populaire”
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21 juillet 2023 5 21 /07 /juillet /2023 10:13

Vous trouverez ci-dessous le petit texte que j'ai commis avec le camarade Antoine Parrot mercredi 19 juillet après-midi, avant le remaniement pour expliquer en quoi cet exercice était vide de sens. Bonne lecture.

Frédéric FARAVEL
Conseiller municipal et communautaire Gauche Républicaine et Socialiste de Bezons
Président de "Vivons Bezons, le groupe des élus communistes, socialistes & républicains"
Animateur national du pôle Idées, formation, riposte de la Gauche Républicaine et Socialiste

100 jours, un remaniement cosmétique, et après ?

Sans majorité, sans projet politique défini maintenant que la réforme des retraites est passée, Emmanuel Macron se mue en président qui “tourne les pages”. L’exécutif a démontré depuis un an qu’il pouvait gouverner sans légitimité politique et sans tenir compte de la réalité vécue par les Français.

Cette dernière est pourtant cruelle, l’inflation ralentit certes mais les salaires ne suivent toujours pas et le pouvoir d’achat de nos concitoyens prend l’eau. La hausse de 10% des prix de l’électricité nous rappelle à quel point la crise de l’énergie est durable, sans qu’aucune action ne soit engagée pour apporter une réponse structurelle. Les discours s’accumulent sur la reconquête de notre souveraineté économique et industrielle alors que la vente de nos fleurons et les délocalisations se poursuivent. La semaine d’émeute qui a frappé notre pays après la mort de Nahel a démontré à quel point les fractures et les ségrégations sociales et territoriales sont à vifs, mais après un déploiement policier inédit pour rétablir l’ordre, l’exécutif a décidé de se contenter d’une loi expresse de réparation et n’a nullement l’intention d’aller plus loin.

Nos services publics, notamment hospitaliers, abordent cet été dans un état pire que le précédent, mais rien d’autre n’est proposé que le dispositif d’urgence qui avait permis de surnager l’année dernière. Que dire des perspectives de la rentrée scolaire de septembre prochain, après un an d’immobilisme complet sous le ministère de Pap Ndiaye. Le fiasco du dernier trimestre sur la mixité scolaire est venu clore une année pathétique.
Bercy nie toujours l’existence de superprofits alors que les dividendes continuent de s’envoler. Les défis écologiques (canicule, nappes phréatiques, biodiversité…) s’accumulent mais l’inaction générale est couverte par le vacarme des polémiques sur l’écologie radicale et la réponse sécuritaire qu’on oppose à ses activistes.

Aujourd’hui ou demain, on nous présentera donc un nouveau casting de ministres inconnus et souvent dépassés à l’avance par les faits… Le Prince de Lampedusa semble donner le ton des mois à venir : « Si nous voulons que tout reste pareil, il faut que nous changions tout », mais Emmanuel Macron n’a pas le talent de Visconti comme réalisateur.

100 jours, un remaniement cosmétique, et après ?
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9 juillet 2023 7 09 /07 /juillet /2023 07:38

J'étais invité dimanche 2 juillet 2023 après-midi sur Radio TamTam pour parler de l'actualité. Initialement, le RDV ayant été pris avant la mort de Nahel, nous devions nous consacrer à la politique municipale... Le meurtre du jeune Nahel Merzouk par un policier et les émeutes qui ont suivi partout en France et notamment dans notre commune ont logiquement modifié la thématique de nos débats. J'ai donc évoqué les causes et les conséquences des violences des derniers jours, la discrimination que subissent les habitants de nos quartiers populaires et ce qu'il faudrait commencer à changer et que les gouvernements successifs ont refusé de faire depuis plusieurs décennies.

Mais nous sommes également revenu sur la réalité de la politique municipale à Bezons, le mensonge comme mode de gestion de la municipalité par la Maire, les décisions anti-environnement, les mesures anti-sociales, la façon dont la communauté d'agglomération prend des décisions contraires aux intérêts des Bezonnais sans que la Maire de Bezons ne réagisse ... Tout cela impose plus que jamais que les gens (membres ou non d'un parti) qui veulent travailler à un projet de gauche, de justice, progressiste et nouveau pour la commune, commencent à se rassembler et à travailler ensemble : c'est ce à quoi je m'engage pour les trois années à venir.

Frédéric FARAVEL
Conseiller municipal et communautaire de Bezons
Président de "Vivons Bezons, le groupe des élus communistes, socialistes & républicains"
Animateur national du pôle Idées, formation, riposte de la Gauche Républicaine et Socialiste

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29 juin 2023 4 29 /06 /juin /2023 14:52
Les graves incidents qui ont eu lieu cette nuit dans notre Ville de Bezons ne servent à rien ni personne.
La colère, qui s’exprime un peu partout en France après que le jeune Naël ait été tué par le tir d’un policier lors d’un contrôle routier où les règles n’ont de toute évidence pas été respectées, est partagée par la majorité des habitants du pays, mais ce n’est pas en détruisant une école, en cassant les vitrines de l’Hôtel de Ville de #Bezons (et en tentant d’y mettre le feu), en détruisant la voiture de son voisin que l’on fera avancer la justice. Détruire les biens publics, détruire la propriété de son voisin pas franchement plus aisé que soi et mettre en danger la vie d’autrui (oui parce qu’hier un peu partout en France comme dans notre Ville, des gens – de simples citoyens – ont été mis en danger, des policiers et des pompiers ont été mis en danger, qui étaient là pour assurer la sécurité et non participer à un règlement de comptes), EN QUOI CELA PERMETTRA-T-IL D‘EFFACER LA MORT DE NAËL ? EN QUOI CELA APPORTERA-T-IL LA JUSTICE SUR CEUX QUI ONT CAUSÉ SA MORT ? Nos voisins, nos enfants sont-ils responsables de la « bavure » de mardi matin ? Que diront ceux qui ont causé l’incendie partiel de l’école Angela-Davis aux élèves qui ne pourront pas aller en classe aujourd’hui ? Que diront-ils aux élèves des autres écoles maternelles et élémentaires qui arrivent ce matin devant leurs établissements en découvrant les reliefs des incendies et qui en seront effrayés et peut-être traumatisés ?
QUELLE SERA LEUR EXCUSE ? ILS N’EN ONT PAS !
Alors ce matin, aujourd’hui et les jours qui viennent je serai de ceux qui appellent au calme, qui appellent à se joindre à la marche blanche à Nanterre initiée par la mère de Naël et soutenue par la Ville de Nanterre.
J’appelle à ce que la justice passe ; j’appelle comme je l’ai fait dès hier dans le communiqué de presse que j’ai rédigé pour mon parti à ce que le commissariat de #Nanterre soit déchargé des enquêtes sur le drame de mardi matin pour assurer l’impartialité des investigations. Nous avons besoin avant tout que la Justice républicaine fasse son chemin et permette de garantir ou de restaurer la confiance entre les habitants et les dépositaires de l’autorité de l’Etat. Je suis convaincu de la nécessité de renforcer la déontologie et l’indépendance de l’organisme chargé des enquêtes administratives…
Je sais que, dans nos quartiers, à raison de la couleur de sa peau on est plus contrôlé que d’autres sans justification rationnelle, je sais que dans nos quartiers l’État ne fait pas assez d’efforts pour assurer des moyens suffisants pour que nos écoles, nos collèges et nos lycées apportent autant de chance à nos enfants que dans des quartiers plus favorisés (dont les électeurs se comportent souvent de manière égoïste et élisent des représentants qui prétendent maintenir des logiques de ségrégation sociale), je sais que venir de nos quartiers c’est être exposé à plus de discrimination à l’embauche… C’EST PAR L’ACTION POLITIQUE QU’ON PEUT FAITE RECULER CES INÉGALITÉS ET DISCRIMINATIONS INDIGNES ET NON EN CRAMANT L´ÉCOLE DES ENFANTS DE SON VOISIN !
Enfin je condamne avec colère tous ceux qui à droite de Ciotti à Zemmour en passant par Le Pen attisent par leur discours les ferments de la guerre civile en désignant celles et ceux qui sont les victimes comme étant des coupables par principes et par le fait même d’exister, niant les faits que tout le monde connaît. Gérald Darmanin a trop souvent emprunté la même démarche et se trouve aujourd’hui en difficulté pour affronter avec crédibilité et efficacité une situation qu’il a contribué à aggraver : qu’il retrouve un peu de dignité en agissant pour mettre fin au plus vite aux drames en cours, sans trop de casse si cela lui est possible ; il sera temp ensuite de le mettre face à ses responsabilités politiques et de lui demander des comptes pour son action et le comportement de pompier pyromane qu’il a eu trop souvent !
Toute ma solidarité enfin aux agents des services publics de Bezons, des autres collectivités et de l’État qui ce matin travaillent à réparer les dégâts au service des habitants.
Frédéric FARAVEL
Conseiller municipal et communautaire de Bezons
Président de "Vivons Bezons, le groupe des élus communistes, socialistes & républicains"
Animateur national du pôle Idées, formation, riposte de la Gauche Républicaine et Socialiste
Brûler une école n'apporte pas la JusticeBrûler une école n'apporte pas la JusticeBrûler une école n'apporte pas la Justice
Brûler une école n'apporte pas la JusticeBrûler une école n'apporte pas la Justice
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