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sur l'auteur

Je m'appelle Frédéric Faravel. Je suis né le 11 février 1974 à Sarcelles dans le Val-d'Oise. Je vis à Bezons dans le Val-d'Oise. Militant socialiste au sein de la Gauche Républicaine & Socialiste. Vous pouvez aussi consulter ma chaîne YouTube. J'anime aussi le groupe d'opposition municipale de gauche "Vivons Bezons" et je suis membre du groupe d'opposition de gauche ACES à la communauté d'agglomération Saint-Germain/Boucle-de-Seine.
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Gauche Républicaine & Socialiste

4 septembre 2020 5 04 /09 /septembre /2020 07:55

Le conseil municipal du mercredi 2 septembre 2020 a duré un peu plus de 3 heures. Il a été largement consacré à la désignation de représentants de la commune dans divers organismes. Peu de choses intéressant le quotidien des habitants pour le moment, on se demande d'ailleurs bien quelles sont les priorités de la nouvelle municipalité divers droite de Bezons.

Avant que Mme Menhaouara commette la faute républicaine grave de refuser de voter un vœu proposé par "Vivons Bezons" pour exprimer la solidarité avec les victimes des attentats de janvier 2015 le jour de l'ouverture du procès, nous avons dû batailler pour défendre les droits de l'opposition et rappeler quelques principes politiques sur la dénomination des rues du Cœur de Ville : c'est ce que vous pourrez voir dans les vidéos ci-dessous.

Frédéric Faravel
Conseiller municipal Gauche Républicaine & Socialiste de Bezons
membre du groupe "Vivons Bezons"

Nous sommes intervenus sur le respect des moyens dûs à l'opposition municipale. Cela fait deux mois que la nouvelle municipalité a été installée. Cependant Mme Menhaouara tout à son bonheur de recevoir cet été deux ministres macronistes n'a pas trouvé le temps de faire en sorte que les droits de l'opposition soient respectés et de leur donner les moyens légaux nécessaires : locaux, outils de travail, etc. Dominique Lesparre s'est donc permis de lui rappeler ses obligations, à l'occasion d'une délibération sur les droits à la formation des élus. A sa suite, j'ai resitué cette situation dans une ambiance plus générale constatée depuis les deux premiers conseils municipaux : la démocratie locale chez Mme Menhaouara c'est surtout pour faire des effets de manche, rarement pour être traduit en actes.

Nous étions ensuite appelés à nous prononcer sur les noms des rues du Cœur de Ville, projet phare pour Bezons que nous avons porté jusqu'au bout. La décision de donner à ses rues les noms de cinq Femmes ayant fait progresser la Cause des Femmes avait été prise par l'équipe de Dominique Lesparre qui l'avait fait accepter par les aménageurs et les promoteurs ; il s'agissait de Simone Veil, Gisèle Halimi, Olympe de Gouges, Simone de Beauvoir et Frida Kahlo. Evidemment, la nouvelle maire de Bezons ne pouvait supporter de maintenir totalement une décision prise par l'équipe précédente, elle a donc choisi de supprimer les deux dernières pourtant emblématiques du combat pour l'égalité réelle entre Femmes et Hommes, combat qui reste d'actualité au regard notamment des graves inégalités sociales et économiques (notamment) structurelles qui persistent dans notre pays. Il est à ce titre regrettable que Monsieur Marc Roullier, représentant le parti LR au sein du conseil municipal, est tenu à ce sujet un discours relativement rétrograde, niant l'existence de ces inégalités. Comment séparer au demeurant Gisèle Halimi et Simone de Beauvoir, lorsque l'on sait le combat commun qu'elles ont mené ensemble non seulement pour le droit à l'avortement, mais aussi contre la torture en Algérie et pour l'indépendance de l'Algérie et de la Tunisie ? Mais il y a fort à parier que Mme Menhaouara n'en avait pas connaissance. La nouvelle municipalité a donc choisi de remplacer Simone de Beauvoir et Frida Kahlo par Camille Claudel (qui malgré son oeuvre particulièrement remarquable n'est pas représentative du combat nécessaire pour l'égalité entre Femmes et Hommes) et Katherine Johnson, qui participe plus de ce mouvement au regard de son apport essentiel à la place des Femmes dans la Sciences et la conquête spatiale, à l'égalité des droits entre les sexes mais également au combat pour les droits civiques des noirs américains. Nous avons pris acte de ces modifications et voté pour ses cinq noms de rue, considérant qu'il était indispensable de rééquilibrer enfin dans l'espace public bezonnais la place des femmes et des hommes. Cependant nous regrettons que cette démarche ait été gâché par le fait que Mme Menhaouara considère ce débat comme "un petit sujet" et ait souhaité opérer des modifications purement politiciennes à ce qui avait été envisagé.

Mme Menhaouara s'était permise dans les débats un mépris affligeant à l'égard des élus de l'opposition, qui ne pouvaient pas prétendre obtenir de représentants pour y servir les intérêts de la commune, affirmant crânement que nous nous désintéressions de ces sujets. Nadia Aouchiche puis moi-même l'avons rappelé à l'ordre avec calme et sérieux. La démocratie locale pour la nouvelle municipalité, ce sont des discours jamais des actes. Ils ont choisi de ne pas tenir compte que les oppositions représentaient deux fois de suffrages exprimés par les Bezonnais que leur liste.

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3 septembre 2020 4 03 /09 /septembre /2020 07:52

Après un conseil municipal longuement et essentiellement consacré à des désignations de représentants de la commune à divers organismes, la maire Nesrine Menhaouara a refusé sous un prétexte fallacieux et en contradiction avec son propre règlement intérieur de soumettre au vote du conseil le vœu que les conseillers municipaux du groupe "Vivons Bezons" proposaient d'adopter en cette journée symbolique d'ouverture du procès d'Assises sur les attentats contre Charlie Hebdo, la policière municipale de Montrouge et l'Hyper Casher.

Je suis sidéré de ce refus de soumettre ce vœu au vote du conseil municipal en ce jour si particulier. Quels que soient les prétextes de la nouvelle majorité municipale, c’est minable. Les Bezonnais et les citoyens de notre pays jugeront de l’à propos de ce refus...

Voici le texte du vœu qui devrait pourtant rassembler tous les élus attachés à la République et à la Laïcité, quelle que soit leur étiquette politique, et sans qu'on puisse lui opposer des arguties pseudo-réglementaires :

« Ce mercredi 2 septembre s’ouvre le procès des attentats contre Charlie Hebdo, une policière municipale de Montrouge et l’Hyper Casher de la Porte de Vincennes.
Ce temps de la Justice qui vient enfin est indispensable pour la mémoire, l’histoire, le respect des victimes et pour éclairer autant que possible la préparation et le déroulement de ces assassinats de masse.
C’est le procès d’une barbarie qui n’a rien à voir avec la Foi ou les idées tout avec la volonté d’opprimer et de détruire.
En ce jour symbolique, le Conseil Municipal de Bezons réaffirme solennellement son attachement irréductible à la République – car elle incarne une communauté nationale qui rassemble tous ses citoyens quelles que soient leurs origines ou leurs croyances –, et son attachement irréductible à la liberté d’expression, d’information et d’opinions qui sont les meilleurs remparts de la Démocratie contre tous les fanatismes et obscurantismes. »

Frédéric Faravel
Conseiller municipal Gauche Républicaine & Socialiste de Bezons
membre du groupe municipal "Vivons Bezons"

A la fin du conseil municipal de Bezons qui se tenait le mercredi 2 septembre 2020, j'ai eu l'honneur de présenter au nom du groupe "Vivons Bezons" un vœu proposant au conseil municipal de marquer le coup solennellement en cette journée si particulière de début du procès des attentats contre Charlie Hebdo, contre une policière municipale de Montrouge et contre l'Hyper Casher et ses clients.

Madame Nessrine Menhaouara, nouvelle maire (PS) de Bezons, a refusé de le soumettre au vote du conseil tirant prétexte fallacieux d'une interprétation erronée du règlement intérieur qu'elle avait fait adopter le 4 juillet 2020. Habituellement un vœu doit pouvoir être examiné avant le conseil par une commission municipale et pour cela être adressé en mairie 5 jours avant le conseil ; or dans ce règlement intérieur, Mme Menhaouara a fait supprimer ("provisoirement" nous a-t-elle assurée) les commissions municipales. Nous n'avions donc plus d'autres choix que de présenter directement ce vœu en conseil municipal, puisqu'aucune commission n'existait plus pour l'examiner au préalable.

J'avais déjà expliqué avec calme mais inquiétude le 4 juillet 2020 que cette incohérence du Règlement intérieur empêcherait l'opposition municipale de proposer des vœux ; la démonstration en a été faite, de triste manière. Mais le pire dans cette affaire c'est que Mme Menhaouara n'a pas eu l'intelligence d'accepter de transiger par rapport à son interprétation erronée du règlement intérieur, pour mettre aux voix un texte avant tout symbolique qui aurait rassemblé tout le conseil dans une expression de solidarité envers les victimes et réaffirmation de nos valeurs républicaines.

Chaque jour se confirme à quel type d'élue nous avons à faire et je suis consterné qu'aucun membre de sa majorité n'ait pensé à avoir un sursaut de dignité dans ce moment (regroupant des élus nominalement membres du PS, d'EELV - ceux-là transfuges opportunistes du PS -, de Génération Ecologie, macronistes ou de la droite dure, il y avait pourtant suffisamment de diversité politique pour qu'on puisse espérer à un moment une réaction). Je veux croire que cette attitude de Mme Menhaouara, et par défaut de son équipe municipale, n'est que l'expression de son sectarisme, de son mépris et parfois de sa haine personnelle envers l'opposition municipale de gauche. Le comble du ridicule a été atteint lorsqu'elle a affirmé sans rire : "Je ne sais même pas sur quoi je me prononce"..
Quand Nesrine Menhaouara refuse de soumettre au vote du conseil municipal un vœu républicain le jour de l'ouverture du procès sur les attentats contre Charlie Hebdo et l'Hyper Casher
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28 août 2020 5 28 /08 /août /2020 14:10

Je souhaiterais aujourd'hui dire quelques mots sur la situation municipale de notre ville, alors que la rentrée approche désormais à grand pas.

Les deux premiers conseils municipaux (ceux du 4 et 15 juillet) nous avaient permis de mesurer à quel point Mme Menhaouara et son équipe, rassemblant des opportunistes inscrits au PS et à EELV avec des élus très à droite, n'étaient pas préparés à prendre la direction de la municipalité et en réalité n'en étaient pas capables. Cafouillages, erreurs, manipulations en tout genre ont émaillé ses deux conseils comme nous nous y étions finalement attendus. Certains ont peut-être été surpris, ce n'est pas mon cas (car je ne connais un peu politiquement le spécimen qui occupe aujourd'hui le mandat de maire), mais pour camoufler toutes ses insuffisances nous avons été confrontés dès ces conseils et cela s'est vérifié par la suite à un comportement autoritaire et sectaire de Mme Menhaouara : alors qu'elle avait fait campagne sur un renforcement de la démocratie locale – ce qui ne mange pas de pain quand on sait que son programme était vide (ses véritables promesses clientélistes ne pouvant être rédigées noir sur blanc dans un programme public) – elle a rejeté systématiquement toutes les demandes légitimes d'associer plus largement les sensibilités du conseil municipal pour un certain nombre de commissions et de représentations. Sous prétexte de rédiger plus tard un « véritable » règlement intérieur du conseil municipal, elle a supprimé les commissions municipales qui permettent aux conseillers municipaux de prendre connaissances des dossiers et de travailler avant que les délibérations ne soient soumises au conseil municipal. Voilà un comportement dangereux pour une équipe qui – outre être la compilation d'ambitions strictement personnelles et d'intérêts particuliers – n'a été élue qu'avec 106 voix d'avance, pour 35 % de participation – les opposition représentant deux fois plus d'électeurs bezonnais que la nouvelle majorité.

Durant l'été, alors que Mme Menhaouara avait prétexté sans rire son appartenance au PS pour indiquer qu'elle n'était pas un soutien des gouvernements Macron, elle et ses adjoints ont mis en scène la visite de deux ministres macronistes pour leur permettre d'illustrer largement leur propagande et leurs mensonges, qui font fi tout à la fois de la solidarité et de la santé des Français.

Alors que nous faisions publiquement remarquer que les règles de précautions sanitaires que Dominique Lesparre et son équipe avaient établies dès la réouverture du marché n’étaient pas respectées, il a fallu attendre encore 10 jours pour que Mme Menhaouara réagisse enfin pour publier un « arrêté municipal » obligeant au port du masque au marché municipal « Le Temps des Cerises », arrêté inutile puisque celui signé par Dominique Lesparre quelques mois plus tôt, et qu'elle ne faisait pas appliquer, était toujours en vigueur.

On doute encore de son sens des priorités : alors que mardi 1er septembre 2020 les élèves des écoles maternelles et élémentaires vont reprendre le chemin des classes, la nouvelle municipalité n'a toujours pas communiqué quoi que ce soit à ce sujet aux parents d'élèves et à leurs associations et fédérations - ne parlons mêmes pas des élus.

C'est sans doute la principale raison pour laquelle la nouvelle municipalité a refusé – alors que les arguments sur les difficultés pratiques pour envoyer notre tribune (publiée plus bas) étaient parfaitement légitimes – la publication de la tribune du groupe municipal « Vivons Bezons » dans le mensuel Bezons Infos de septembre 2020.

Mme Menhaouara s'est également permise en contradiction avec son propre règlement intérieur de ne pas réunir la conférence des présidents avant le conseil municipal. Les élus d'opposition ne disposent toujours pas des moyens qui leurs sont dévolus pour exercer leurs mandats, et il a fallu hausser le ton pour obtenir une convocation et un dossier complet autrement que sous format informatique (inaccessibles sans bénéficier des moyens attendus par les élus municipaux) pour préparer le conseil municipal du 2 septembre.

Mme Menhaouara semble donc plus préoccupée depuis le soir du 28 juin par des priorités qui ne regardent qu'elle : donner libre cours à sa haine à l'égard de l'ancien maire dont elle était adjointe et qu'elle avait décidé dès 2014 de trahir ; régler ses comptes avec toutes celles et ceux qui ont tenté de l'empêcher de nuire pendant les 12 années où elle était une adjointe n'assumant pas son mandat (mais profitant des indemnités du mandat) ; mettre en scène sa seule personne et profiter pour sa satisfaction égotique et son pantouflage futur des relations qu'elle obtiendra comme Maire. Les intérêts des Bezonnais, l'avenir de la commune n'ont malheureusement que peu de poids face aux intérêts personnels et à la logique clientéliste de la nouvelle maire.

Frédéric FARAVEL
Conseiller municipal Gauche Républicaine & Socialiste de Bezons
membre du groupe municipal "Vivons Bezons"

Bezons : un été municipal inquiétant, une rentrée qui le confirme
Bezons : un été municipal inquiétant, une rentrée qui le confirmeBezons : un été municipal inquiétant, une rentrée qui le confirme

[#BezonsInfos]
Voici la tribune que la nouvelle municipalité a refusé de publier dans le Bezons Infos de la rentrée bien que nous ayons expliqué avoir rencontré un problème technique indépendant de notre volonté. ⤵️

« C'est la fin des vacances Covid-19. Chacun s'est diverti comme il a pu malgré le contexte.
123 soleil que nous avons instauré depuis plusieurs années a permis aux Bezonnais.e.s de se changer les idées.
La nouvelle municipalité a tardé à faire respecter les mesures sanitaires nécessaires que nous avions prises, elle avait d'autres préoccupations certainement...
De même, nous n’avons rien vu non plus du côté de la rentrée scolaire.
Les responsabilités municipales sont nombreuses et ne peuvent être assumées sans préparation et priorisation !
RDV sur notre page Facebook https://www.facebook.com/vivonsbezons/ pour la suite de nos réflexions.
Les élus de Vivons Bezons »

#écoles #rentrée #santé #priorités

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3 août 2020 1 03 /08 /août /2020 14:26

Désignation des représentants du conseil municipal au PLIE et à la Mission Locale

Lors du conseil municipal du mercredi 15 juillet 2020, au nom du groupe "Vivons Bezons", Nadia Aouchiche a présenté sa candidature comme titulaire et celle de Catherine Pinard comme suppléante au Plan Local pour l'Insertion et l'Emploi (PLIE) d'Argenteuil-Bezons. Cette proposition a été renouvelée de manière comparable pour la Mission Locale. Ce sont des outils essentiels pour lutter contre le chômage et pour l'insertion professionnelle des jeunes ; au regard de la situation économique, ces deux instances mériteraient que l'ensemble du conseil municipal de Bezons soit associé (pour rappel la "majorité municipale" ne représente que la moitié des suffrages exprimés recueillis par les trois groupes d'opposition).

Comme nous nous y attendions, Mme Menhaouara a opposé dans les deux cas une fin de non recevoir à notre proposition.

Dominique Lesparre est également intervenu pour indiquer que la manière dont la Mission Locale Argenteuil-Bezons répondait aux besoins et aux attentes des jeunes bezonnais était très insatisfaisante (le manque d'implication des précédents représentants de la commune au sein du conseil d'administration de la Mission Locale n'y est sans doute pas étranger ; ces personnes ne figuraient pas sur la liste conduite par Dominique Lesparre) et qu'il convenait d'y remédier.

 

Débat d'orientation budgétaire (suite)

Après l'intervention liminaire de Frédéric Faravel sur le rapport d'orientation budgétaire présenté par la nouvelle municipalité, Arnaud Gibert est intervenu pour corriger les importantes approximations de Mme Menhaouara et de son équipe.

Il a tenu notamment à rappeler que les services municipaux avaient bien fait leur travail concernant la gestion des finances municipales, que des mesures de contrôle existaient évidemment ce qui est normal pour une collectivité territoriale ayant un budget de 75 millions d'euros, et que la Chambre Régionale des Comptes avait récemment rendu un rapport indiquant la bonne gestion des finances communales. Il a indiqué que le Plan Local d'Urbanisme (PLU) devait être régulièrement révisé, car l'urbanisme était une "matière vivante". Ainsi le développement des espaces végétalisés est intimement lié à l'urbanisme. C'est le sens de l'action que nous avions menée avec le Cœur de Ville qui a obtenu le Label écoquartier. Ce label avait été accordé par le Ministère de l'écologie qui n'est en rien une obscure petite association comme Mme Menhaouara le sous-entendait mensongèrement. Enfin, puisque la nouvelle municipalité indique vouloir suspendre le projet de nouveau stade sur les berges de Seine pour le relocaliser, Arnaud Gibert a précisé qu'un tel projet impliquait obligatoirement la mobilisation d'un hectare, une surface qu'on ne trouve pas ailleurs à Bezons. Les berges de Seine étant par ailleurs protégées, il est faux d'indiquer que l'on aurait pu les bétonniser.

Florelle Prio est ensuite intervenue pour rappeler qu'en 2016 la Ville de Bezons avait hérité de 20 millions d'euros de dettes consécutives à la dissolution de la Communauté d'Agglomération d'Argenteuil-Bezons, qui n'était pas souhaitée et pas du fait de la municipalité dirigée par Dominique Lesparre. Après cela l'équipe de Dominique Lesparre a eu à cœur de réduire avec succès le niveau d'endettement (comme précédemment signalé par Frédéric Faravel). Elle a rappelé enfin que tous les indicateurs établissaient que la dette communale était sécurisée.

En fin de débat, Frédéric Faravel est revenu sur les conditions d'organisation du débat d'orientation budgétaire et son manque évident de sérieux. Il apparaît que la nouvelle majorité n'a pas préparé ses dossiers, alors qu'elle pouvait se donner le temps jusqu'au 31 juillet 2020 de présenter un dossier qui n'était pas qu'une simple compilation de donnés techniques, pour une part non actualisées, et sans aucune orientation politique solide. Quand bien même depuis le 28 juin au soir, Mme Menhaouara avait largement le temps de préparer ses dossiers ; on l'a vu se mobiliser pour d'autres sujets qui lui ont sans doute paru plus prioritaire (notamment certaines à caractère vexatoire) : il faut croire que les orientations budgétaires et le budget lui-même ne l'étaient pas.

Dernières interventions (RI, indemnités, prime COVID, création du groupe "Vivons Bezons")

C'est autour d'une heure du matin (donc le jeudi 16 juillet) que Frédéric Faravel et Arnaud Gibert sont intervenus pour les dernières prises de parole du conseil municipal du groupe "Vivons Bezons" :

- le projet de règlement intérieur "provisoire" soumis au conseil par Mme Menhaouara qui ne respecte pas les cadres ;

- un vote sur les indemnités de la nouvelle maire, de ces adjoint(e)s et des conseillers délégués, qui ont été présenté de manière à faire croire que l'indemnité de Maire baissait alors que ce n'est pas le cas ;

- une demande de correction des annonces sur le budget global pour la prime COVID des agents municipaux, pour lequel Mme Menhaouara s'était (encore) trompée dans les chiffres ;

- et enfin l'annonce de la création du groupe municipal "Vivons Bezons" composé par Dominique Lesparre, Florelle Prio, Frédéric Faravel, Nadia Aouchiche, Arnaud Gibert et Catherine Pinard...

intervention sur le règlement intérieur du conseil municipal de Bezons, dans la nuit mercredi 15 au jeudi 16 juillet 2020 (minuit et demi passé)

intervention sur le règlement intérieur du conseil municipal de Bezons, dans la nuit mercredi 15 au jeudi 16 juillet 2020 (minuit et demi passé)

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24 juillet 2020 5 24 /07 /juillet /2020 09:41

Depuis lundi 20 juillet, les masques sont devenus obligatoires dans tous les lieux clos, comme ils l'étaient dans les transports en commun. Après des mois de cafouillage, après avoir expliqué que les masques ne servaient à rien, après avoir laissé les initiatives citoyennes et les communes (comme la municipalité dirigée par Dominique Lesparre) assumer à sa place la protection des habitants contre l'épidémie par la fabrication et/ou la distribution de masques gratuits à toute la population, nous ne pouvons que nous réjouir que le gouvernement aient enfin pris des mesures de bon sens pour réduire la circulation du virus et ainsi empêcher un nouveau confinement qui serait fatal à l'économie du pays et catastrophique pour la vie quotidienne de nos concitoyens.

OR, À PARTIR DU MOMENT OÙ LES MASQUES DEVIENNENT OBLIGATOIRES DANS DE NOMBREUX LIEUX DE LA VIE QUOTIDIENNE ET COLLECTIVE, IL EST NÉCESSAIRE, INDISPENSABLE, QUE CEUX-CI SOIENT ACCESSIBLES À TOUTES ET TOUS ET DONC GRATUITS.

Le gouvernement refuse aujourd'hui de répondre positivement à cette exigence de bon sens. Comme il avait refusé précédemment d'encadrer les prix des masques pour « ne pas décourager l'innovation » – en plein confinement le gouvernement souhaitait d'abord protéger la capacité de la grande distribution à faire des profits.

L'annonce par le ministre de la santé, mercredi soir après avoir été fortement secoué par les parlementaires de gauche à l'Assemblée nationale et au Sénat, de l'envoi de 40 millions de masques aux personnes les plus modestes est évidemment une bonne nouvelle, mais c'est un pis-aller. Même Florent Guéguen, directeur de la Fédération des acteurs de la solidarité (qui rassemble près de 900 associations), qui ne réclame pas la gratuité, juge que « le périmètre de distribution » est « un peu étriqué » : « Des travailleurs pauvres, des familles modestes qui ont pu avoir des surcoûts liés à la crise et une baisse de pouvoir d'achat ne seront pas éligibles », tout comme « les familles qui sont au Smic et pour lesquelles le coût des masques coûte entre 100 et 200 euros » par mois. Devant les sénateurs, le ministre de la santé s'est livré d'ailleurs à un calcul du coût pour une famille moyenne qui n'avait aucun rapport avec la réalité.

DANS CES CONDITIONS, L'ANNONCE DE LA VISITE IMPROMPTUE DE LA MINISTRE DU LOGEMENT AUJOURD'HUI À BEZONS À MIDI POUR DISTRIBUER DES MASQUES DANS LES LOCAUX DE L'ASSOCIATION AURORE NOUS APPARAÎT COMME UNE OPÉRATION DE COMMUNICATION PARTICULIÈREMENT INDÉCENTE. NOUS DÉNONÇONS ÉGALEMENT QUE Mme MENHAOUARA SE PRÊTE AUSSI COMPLAISAMMENT À UNE TELLE MANIPULATION AU SERVICE DE LA PROPAGANDE GOUVERNEMENTALE.

C'est d'autant plus caricatural que le parti socialiste auquel adhère nominalement Mme Menhaouara réclame de manière répétée avec toute la gauche parlementaire la gratuité des masques. Mais nous savons que la cohérence et les convictions sincères n'ont jamais caractérisé la nouvelle maire de Bezons.

Les Bezonnais.e.s n'ont pas voté pour avoir à la tête de la municipalité un relais servile et caché de la propagande macroniste. C'est d'autant plus malsain ici qu'il s'agit de la santé des habitants et des plus modestes d'entre eux.

Nous continuerons donc à exiger de l'État et de la nouvelle municipalité que les masques désormais obligatoires dans tous les espaces collectifs clos soient gratuits et distribués à nos concitoyens. Il existe suffisamment de stocks dans les entreprises françaises qui ont décidé de produire dès mars des masques pour que l'État en achète massivement – une dépense dont le coût sera toujours inférieur aux conséquences d'une éventuelle deuxième vague. Ces masques doivent être considérés comme des "biens de santé" qui sont pour la plupart pris en charge par la solidarité dans notre pays.

Frédéric Faravel
Conseiller municipal et communautaire Gauche Républicaine & Socialiste de Bezons
Liste "Vivons Bezons"

infographie publiée par Le Parisien, rappelant le coût mensuel pour une famille confrontée au port obligatoire du masque dans les espaces publics clos.

infographie publiée par Le Parisien, rappelant le coût mensuel pour une famille confrontée au port obligatoire du masque dans les espaces publics clos.

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17 juillet 2020 5 17 /07 /juillet /2020 10:54

Je souhaite intervenir dans le débat d'orientations budgétaires. En effet, le document – qui nous a été remis avec la convocation du conseil municipal – est une somme d'informations de nature purement technique qui ne sont pas remises en perspective – et rien dans votre intervention n'est venu corriger cela – et par ailleurs lors d'un débat d'orientations budgétaires on aurait pu imaginer que celui-ci vous donne l'occasion de combler les lacunes du rapport remis. Il n'en fut rien.

La seule retouche qui semble avoir été faite à ce rapport purement administratif pour le reste, c'est lorsque vous avez inséré en page 3 une affirmation, qui n'est démontrée par aucune étude sérieuse – au contraire –, selon laquelle la population de commune devrait très fortement augmenter du fait des décisions prises avant le 28 juin dernier. Je comprends parfaitement que vous vous soyez sentie obligée d'intégrer dans le rapport cette fausse information que vous avez répétée durant toute la campagne électorale, mais le fait de l'y inscrire n'en fait pas plus qu'avant une vérité démographique, statistique ou urbaine.

Par contre, sur l'analyse des effets de la situation économique et sociale sur notre ville et les Bezonnais, votre document (et vous-même) reste particulièrement lapidaire.

En effet, faire un copier-coller des synthèses de l'INSEE est peut-être à la fois un peu court et biaisé – si l'expertise statistique de cette agence est évidente, on a vu par contre plusieurs fois ces synthèses dire le contraire des chiffres pour coller aux discours du gouvernement en place (quelle que soit sa couleur politique au demeurant). Retrouver ainsi comme référence de la reprise de l'activité la hausse des transactions des cartes bancaires après le 11 mai est aberrant, car cela ne dit évidemment rien de l'activité économique réelle du pays. Par contre on a compté une augmentation des défaillances d'entreprises de 23% début mai, et l'Office Français des Conjonctures Economiques prévoit une hausse des cessations de paiement des entreprises de plus de 80% d'ici la fin de l'année. Ces faillites, parce que c'est bien de cela dont il s'agit, risquent malheureusement de se répéter dans la durée, puisque les dispositifs existants pour soutenir les PME et TPE – je pense notamment à la garantie d'emprunt de l'Etat – vont exposer celles-ci au mur de la dette et donc à la liquidation probable, sans qu'il ne soit aujourd'hui proposé de solution pour l'éviter. Il ne s'agit pas ici de critiquer le fait que le gouvernement ait paré au plus pressé face au confinement, mais de dire que rien n'a été pensé à moyen terme pour la sortie de crise... et je n'ai rien entendu qui permette de penser le contraire dans la déclaration de politique générale du nouveau Premier ministre. À ce propos, vous n'avez pas du écouter ou vous informer sur le contenu de cette déclaration, ni sur l'interview complaisante offerte au Président de la République, car l'un comme l'autre ont annoncé le report probable de l'extension de l'exonération de Taxe d'habitation, or dans votre intervention cela n'apparaît même pas.

Cette situation économique a plusieurs effets très concrets pour les communes, notamment la nôtre, et leurs habitants :

  1. La hausse du chômage... un document d'introduction au Débat d'orientation budgétaire ne devrait pas se contenter (comme c'est le cas ici) de constater son augmentation au mois d'avril mais indiquer que la ville va être confrontée à une plus que probable et durable augmentation des demandeurs d'emplois... et surtout qu'elle s'y prépare concrètement dans le budget qui nous sera soumis.

  2. Il faudrait également citer les effets en termes de baisse des revenus de la situation de chômage partiel auxquels sont confrontés depuis plusieurs mois et pour plusieurs mois encore de nombreux foyers de la commune. Je comprends que vous n'ayez pas les détails de ces chiffres, mais l'intelligence aurait été d'intégrer cette réflexion dans le DOB.

  3. En conséquence de ces deux derniers éléments, la demande sociale va s'accroître fortement – elle s'est déjà accrue – dans la commune. Nul ne peut imaginer que cela ne pèsera pas sur les finances communales et je ne comprendrai pas que le budget qui nous est soumis ne tienne pas compte de la nécessité de prévoir une augmentation des dépenses de solidarité... Mais on se souvient que ce sujet était absent de votre discours du 4 juillet.

  4. Enfin, l'activité économique a eu un effet de perte de recettes pour les collectivités territoriales. Votre document se cantonne à citer une des mesures contenues dans le troisième projet de loi de finances rectificative (dont l'examen reprendra demain après-midi au Sénat) : le soutien de l'Etat aux collectivités territoriales à hauteur de 4,5 milliards d'euros. On aurait attendu d'une municipalité de gauche qu'elle souligne que les collectivités ont perdu déjà 7,5 milliards d'euros et que l'effort attendu du gouvernement n'est pas au rendez-vous. On attendait là-dessus une prise de position politique pour exiger avec d'autres que l'Etat, qui déverse des milliards sans conditions sur des grandes entreprises qui licencient malgré tout, fasse le job pour les collectivités territoriales qui sont en première ligne. Mais votre municipalité n'est pas de gauche, et vous comptez dans votre majorité tant de soutiens de la politique gouvernementale que cela signe votre double discours.

Pour le reste du document, cela reprend les éléments que nous retrouverons par ailleurs dans le compte administratif et le compte de gestion : la Ville de Bezons a été bien gérée par Dominique Lesparre et son équipe – enfin ceux qui dans son équipe ont assumé réellement leurs responsabilités jusqu'au bot, à la différence de certains ici sur les bancs de la majorité. Elle a été bien gérée avec le souci de la solidarité et du service public. Elle a été bien gérée aussi grâce à la stratégie urbaine mise en œuvre et que vous avez reniée après l'avoir votée. Elle a été bien gérée aussi en permettant une nette augmentation de nos capacités d'autofinancement et je note que l'augmentation de la dette – que vous avez voulu souligner – suit une baisse opérée justement pour récupérer des capacités d'endettement et conduire des projets.

Je conclue en indiquant que nous devons voter sur les orientations budgétaires – pas seulement en prendre acte – le rapport pouvant prendre en compte plusieurs modifications apportées pendant le débat. Je crois en avoir suggéré plusieurs.

J'avoue qu'à la lecture du rapport que vous nous avez remis se dégage l'impression que vous n'avez pas préparé ce dossier. Un dernier exemple : vous parliez dans votre intervention de construire le parking à Roger-Masson, qui est déjà réalisé.

Je vous remercie.

Frédéric Faravel

Intervention dans le Débat d'orientations budgétaires du conseil municipal de Bezons - mercredi 15 juillet 2020
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6 juillet 2020 1 06 /07 /juillet /2020 08:29

Vous trouverez ici mon intervention lors du conseil municipal d’installation le samedi 4 juillet 2020 un peu après 12h30. Ce conseil municipal a été particulièrement pénible, non parce qu'il matérialisait notre défaite électorale pour seulement 106 voix d'écart (ce qui en soi est bien cruel mais qu'il faut accepter sans rien renier de ce que l'on défend), mais parce que la nouvelle majorité institutionnelle de ce conseil municipal a démontré tout au long de la séance son impréparation et son incompétence, indigne d'une équipe aspirant à diriger une collectivité, indigne d'une équipe qui compte en son sein des adjoints au maire qui ont siégé avec ce mandat parfois 12 ans. Cela rappelle à quel point ils ont été fantomatiques pendant les mandats 2008-2014 et 2014-2020, ne prenant aucune initiative et n'assumant aucune des responsabilités qui leur avaient été confiées. La soif du pouvoir seule les anime. Je vous avoue être très inquiet pour l'avenir de Bezons si la Ville devait rester réellement pendant 6 ans entre leurs mains. Nous serons là avec les élus de gauche, avec l'opposition pour défendre les Bezonnais.e.s contre les actes de cette majorité opportuniste, sans aucune conviction puisqu'elle mélange des élus prétendant avoir l'étiquette PS et EELV, avec d'autres issus d'une liste au premier tour mêlant LREM à la droite dure. C'est donc une majorité de droite qui siège à Bezons et je sais que ce n'était pas là la volonté des Bezonnais.e.s.

Frédéric Faravel
conseiller municipal Gauche Républicaine & Socialiste de Bezons
Liste "Avec Dominique Lesparre, Vivons Bezons"

« J’ai souhaité intervenir sur la Charte de l’élu local. J’y lis effectivement quelques mots significatifs comme impartialité, dignité, probité et intégrité, ou encore la poursuite du seul intérêt général. Nul n’est parfait bien sûr, mais je pense qu’avec un tout petit peu d’efforts mes camarades et moi-même devrions pouvoir nous y conformer. Je crains – aux vues de ce qui s’est passé pendant la campagne, le jour du second tour, et après – que ce ne soit pas si évident pour tous dans la salle.

Avec les conditions de l’installation de ce matin que vous avez imposées au forceps, vous avez voulu nous faire vivre aujourd’hui comme une sorte de couronnement, un début de règne. N’oubliez pas cependant que nous sommes dans une République une et indivisible. La presse a révélé pendant la campagne combien ce concept vous était étranger.

J’appelle tous les élus ici présents à faire preuve d’humilité – et ce conseil vous est adressé en premier lieu : avec 34,5% de participation, nous avons malheureusement comme partout en France été tous mal élus. Nous nous efforcerons à notre niveau de travailler à réduire cette dépression civique.

L’humilité devrait s’imposer d’autant plus à vous Mme Menhaouara : grâce à ce mode de scrutin, vous êtes sur les bancs de la majorité et nous sommes l’opposition. N’oubliez jamais que l’opposition – dont les projets ne pouvaient s’accorder (nous n’avons pas par exemple la même conception que M. Roullier de la justice sociale que vous avez oubliée dans votre discours) car nous avons plus de convictions et de scrupules que vous n’en aurez jamais – les bancs de l’opposition donc représentent deux fois plus de suffrages exprimés que vous n’en avez recueillis. À notre place, nous défendrons tous les Bezonnais car je sais que vous n’êtes pas là pour servir.

Ceci étant dit, nous prenons acte avec plaisir de cette Charte de l’élu local ! »

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19 juin 2020 5 19 /06 /juin /2020 10:45

NOUS SOMMES SOCIALISTES et nous aimons Bezons. Nous nous sommes engagés pour notre ville. Dès la campagne du 1er tour des élections municipales, nous avons fait le choix de soutenir Dominique Lesparre. Sa liste est arrivée en tête. Nous sommes plus que jamais convaincus que ce choix est le bon !
Depuis, les autres listes ont commis des tractations lamentables. Nous vous avions prévenus dès décembre qu'il n'y avait rien à attendre de Mme Nessrine Menhaouara ; elle vient à nouveau de le démontrer.
Motivée par ses seules ambitions personnelles, elle a fusionné avec la liste soutenue par le parti de Macron et une partie de la droite. Cette élue sortante qui a soutenu tous les projets municipaux qu'elle dénonce a ainsi vendu ses « convictions » pour tenter d'accéder au pouvoir. Elle n'a pas d'autres motivations et ce sont les Bezonnais.e.s qui en feront les frais.

Pour Bezons nous voulons :
 Une ville de gauche qui porte toujours haut ses valeurs de solidarité : cantine gratuite pour tous, plus de moyens pour le centre d’action sociale, maison des Femmes, moyens aux associations renforcés ;
 Une ville qui continue à se moderniser, où on pourra faire ses courses, se divertir, s’épanouir, faire du sport, boire un verre ou aller au restaurant entre amis ;
 Une ville qui donne sa place à chacun : logement pour tous, privé et social, de qualité, nouvelles crèches, écoles rénovées ;
 Une ville qui rayonne, attirant de nouvelles entreprises, de nouveaux emplois dont pourront bénéficier tous les Bezonnais ;
 Une ville qui poursuit sa transition écologique, avec de nouveaux espaces verts et un parc Bettencourt rénové, de nouvelles pistes cyclables, des bâtiments neufs aux dernières normes écologiques.

LE 28 JUIN 2020, PAS D'HÉSITATION, PAS DE DISPERSION, POUR UNE VILLE SOLIDAIRE, DYNAMIQUE & PLUS VERTE,

VOTONS « AVEC DOMINIQUE LESPARRE, VIVONS BEZONS »

Pierre BORDAS, conseiller municipal et ancien adjoint au maire ; Philippe NGWETTE, ancien adjoint au maire et ancien secrétaire de la section PS de Bezons ; Martin LOLO, adjoint au maire ; Philippe CLOTEAUX, ancien adjoint au maire ; Marie-Christine PASQUET-GRELET, ancienne conseillère municipale ; Farid BERKANE, ancien adjoint au maire ; François MOTAY, ancien conseiller municipal ; Martine COURBEZ, ancienne conseillère municipale ; Patrick BREUNEVAL, ancien conseiller municipal et ancien secrétaire de la section PS de Bezons ; Idriss BROUKSY, ancien conseiller municipal ; Marie-Lucile FAYE, ancienne conseillère municipale ; Luabeya MUTAMBAYGaétan GUIBERT et Yves GRELET, militants socialistes ; Frédéric FARAVEL, ancien membre du conseil national du PS et coordonnateur national adjoint des pôles thématiques de la Gauche Républicaine & Socialiste...

téléchargez le tracts des socialistes de Bezons pour soutenir la liste de Dominique Lesparre

tract des socialistes pour soutenir la liste "Avec Dominique Lesparre, vivons Bezons !" (juin 2020)
tract des socialistes pour soutenir la liste "Avec Dominique Lesparre, vivons Bezons !" (juin 2020)

tract des socialistes pour soutenir la liste "Avec Dominique Lesparre, vivons Bezons !" (juin 2020)

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11 juin 2020 4 11 /06 /juin /2020 16:17
Dans 17 jours, nous voterons pour les élus qui auront la tâche de nos représenter pendant 6 ans au Conseil municipal. C'est un enjeu important. Vous pouvez encore apporter votre soutien et votre enthousiasme, pour participer à la dynamique autour de la liste Avec Dominique Lesparre, Vivons Bezons, en cliquant en dessous : vous voulez une ville de gauche qui soit toujours solidaire, qui ne trahisse pas ses valeurs, qui ne sombre pas dans les magouilles, qui ne se transforme pas en cauchemar macronien ? Rejoignez nous !
Rejoignez Vivons #Bezons ! #Municipales2020
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22 mai 2020 5 22 /05 /mai /2020 15:20

Dès le 16 mars 2020, la commune de Bezons a été confrontée comme tout le pays au confinement et aux conséquences de la crise sanitaire provoquée par la propagation du COVID-19. Cette crise n'a pas seulement causé des contaminations et des décès douloureux (ils sont peu nombreux à l'échelle d'une commune mais représentent toujours un drame humain), elle a été un facteur d'aggravation de la crise économique et sociale, plongeant des dizaines de familles en difficulté dans la précarité totale, compliquant pour toutes et tous notre quotidien.

Pendant deux mois, Dominique Lesparre et quelques adjoints au Maire (Florelle Prio, Arnaud Gibert, Nadia Aouchiche, Catherine Pinard, Martin Lolo et Françoise Salvaire) encore actifs - avec les cadres et agents municipaux fortement mobilisés - ont tenu bon au service de tous les Bezonnais, pour faire vivre la solidarité, assurer le maintien des services publics essentiels dans un cadre très contraints, coordonner l'action avec les commerçants et les supermarchés, soutenir les associations et leurs initiatives ; ils ont fait face.

Merci au Maire, à son équipe, aux fonctionnaires et à tous les agents publics pour leur action. On aurait aimé que tous les élus soient aussi consciencieux...

Alors, #MerciDominique

Frédéric Faravel

L'action municipale de #Bezons avec Dominique Lesparre et son équipe pendant 2 mois face au #COVID19 au service des Bezonnais
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L'action municipale de #Bezons avec Dominique Lesparre et son équipe pendant 2 mois face au #COVID19 au service des Bezonnais
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