Je m'appelle Frédéric Faravel. Je suis né le 11 février 1974 à Sarcelles dans le Val-d'Oise. Je vis à Bezons dans le Val-d'Oise. Militant socialiste au sein de la Gauche Républicaine & Socialiste. Vous pouvez aussi consulter ma chaîne YouTube. J'anime aussi le groupe d'opposition municipale de gauche "Vivons Bezons" et je suis membre du groupe d'opposition de gauche ACES à la communauté d'agglomération Saint-Germain/Boucle-de-Seine.
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Les vidéos de l’émission :
Partie 1 :
Partie 2 :
Partie 3 :
"On est dans une fiscalité d’opportunité en faveur de certaines catégories", mais "cela ne sera pas favorable à la croissance", a-t-il déclaré à propos du projet de détaxer les heures supplémentaires, lors de l’émission Le Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI.
Interrogé sur le projet de déduction fiscale des intérêts d’emprunts immobiliers pour les résidences principales, Henri Emmanuelli a jugé que cette mesure allait "diminuer l’impôt progressif".
Croissance/dette
"Je ne pense pas qu’elle sera favorable à la croissance", a-t-il ajouté. Le gouvernement ne pourra pas faire reculer les déficits et diminuer la dette, car "il va faire des cadeaux fiscaux à certains catégories privilégiées, qui vont diminuer ses recettes", a-t-il dit.
Cette orientation du gouvernement de François Fillon se situe selon lui dans la "bonne vieille tradition conservatrice : donnons un peu plus d’argent aux riches, et ils vont fabriquer de l’activité. Et bien non, ils vont fabriquer de l’épargne."
Rassembler
Henri Emmanuelli a également appelé le Parti socialiste "à se rassembler" autour du premier secrétaire pour les législatives, rappelant à ceux qui envisageraient de prendre la succession de François Hollande que "le leader de ce parti de la gauche sera celui ou celle qui arrivera à rassembler les progressistes".
"Quand on se bat, c’est pour gagner", a expliqué le député socialiste des Landes. "Si les rapports de force rendent la victoire" aux législatives "peu probable, l’objectif c’est d’occuper un maximum de terrain pour en laisser un minimum à l’adversaire, à la fois pour résister mais aussi pour préparer la bataille suivante".
"Finalement, ni les projets des socialistes, ni le pacte présidentiel n’ont été agrées par les Français", a par ailleurs noté le député des Landes. "Donc, leur représenter une deuxième fois ce qu’ils n’ont pas voulu une première fois ne serait pas tout à fait adéquat".
Trop de choses
Selon lui, "il y avait dans le projet socialiste beaucoup de choses, peut-être trop, ce qui fait que l’on n’a pas vu l’ossature, on n’a pas vu émerger les parties les plus saillantes celles qui pouvaient être les plus attractives".
"Le spectacle qui a été offert" par le Parti socialiste depuis l’échec de Ségolène Royal "n’était pas tout à fait convenable, il était même inopportun par moment", a aussi jugé Henri Emmanuelli soulignant que "les défaites sont des moments de cruelles vérités".
Maintenant que "la mer se retire, on voit émerger les épaves", a-t-il observé. Et de filer la métaphore : "on voit les crabes sortir des trous (...) Le spectacle qu’on a eu sous les yeux n’était pas toujours à la hauteur de l’événement".
Leadership
"Nous devons être tous rassemblés autour du Premier secrétaire, que ce soit les membres du bureau, que ce soit les élus, que ce soit la candidate pour essayer de gagner cette bataille", a tonné Henri Emmanuelli. "La recherche de leadership à la veille d’une bataille me paraît quelque chose de ’bizarroïde’".
"La tradition de la gauche ce n’est pas d’être à la recherche du chef qui va le sauver. La tradition de la gauche, c’est le rassemblement, c’est la réflexion collective", a affirmé l’ancien Premier secrétaire du PS. "Sera leader de ce parti de la gauche, celui ou celle qui arrivera à rassembler les progressistes. Tout le reste c’est de la littérature de circonstance", a-t-il conclu. (AP)
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Emmanuelli dénonce les cadeaux fiscaux
Henri Emmanuelli (Sipa)
Il a été jugé comme le principal responsable de la défaite, donc il y avait une très forte pression sur lui.
On peut imaginer que, là, il a voulu un peu empêcher cette pression de monter encore pendant les législatives en indiquant que de toute façon il s'en irait au prochain congrès, normalement prévu en novembre 2008.
Je pense que son avenir politique sera de peser sur l'orientation du PS. Il continuera à jouer un rôle. Si le congrès a lieu à la date prévue, ce qui n'est pas acquis, en novembre 2008, il aura été onze ans premier secrétaire. Il ne va pas disparaître dans une trappe. Je pense qu'il sera toujours maire de Tulle.
Ensuite, la question de ses relations politiques avec Ségolène Royal se posera peut-être au sein de cette nouvelle coalition.
C'est donc sous cette forme que F. Hollande a été élu en 1997, réélu en 2000, en 2003, en 2005. Son successeur devra donc se soumettre à la même procédure.
Donc théoriquement, il n'est pas prévu qu'elle soit reconduite.
S'ils restent, ils pèseront certainement d'une façon décisive dans le choix du futur patron du PS.
Et en 2002, Lionel Jospin n'était pas premier secrétaire, puisqu'il était premier ministre.
Ségolène Royal à mon avis a peu de chances d'être premier secrétaire, et on sait qu'elle désire se représenter en 2012.
SÉGOLÈNE ROYAL OU DOMINIQUE STRAUSS-KAHN ?
Après, sur les solutions avancées par l'une et par l'autre, il y a des divergences.
Il y a donc des différences entre eux, mais qui à mon avis ne sont pas insurmontables.
Mais il apparaît que, pour les sympathisants socialistes, Ségolène Royal reste plébiscitée. Elle a conservé cette image d'électron libre prêt à bousculer les dogmes et les tabous socialistes qui a fait son succès pendant la campagne présidentielle.
DSK a affiché comme objectif ce qu'il a appelé un réformisme radical, qu'il a ensuite présenté comme une rénovation sociale-démocrate avec un PS qui s'assume ainsi véritablement, même si cela pose un certain nombre de questions par rapport au modèle social-démocrate.
Cela supposerait que le PS se redéfinisse, se rénove, se refonde, mais aussi que le centre décline clairement son identité et dise explicitement quelle est sa vision de la société, de ses rapports avec la droite, par exemple.
Donc je pense que la direction du PS n'est pas vraiment sa tasse de thé. Elle préférerait avoir un proche, un fidèle à la tête du parti, dans une relation moins complexe que celle qui était la sienne avec l'actuel premier secrétaire, dans la mesure où c'est son compagnon.
Cette fédération, c'est ce qui s'était fait en 1965. F. Mitterrand avait créé la Fédération de la gauche démocrate et socialiste, qui comprenait plusieurs partis, dont le PS, mais sans le PC et sans le centre.
ui aussi peut choisir la même méthode que Mme Royal et essayer de mettre un proche à la tête du PS.
Son courant traverse un peu une crise existentielle, et certains de ses amis commencent à se demander s'il ne faut pas envisager d'autres voies pour rénover le PS.
C'est donc un candidat qui à mon avis pourrait convenir à DSK.
Il a donc un combat difficile à mener, et s'il était battu, cela lui couperait la voie d'un poste de premier secrétaire du PS pour un moment.
Son principal atout aujourd'hui, c'est qu'il est devenu un proche de Mme Royal. De même que DSK pourrait être tenté de jouer la carte Valls, Ségolène Royal pourrait être tentée de jouer la carte Peillon.
Mais son principal inconvénient, c'est que ce n'est pas un quadra, il ne peut pas incarner ce renouvellement générationnel qui semble très désiré par les militants socialistes.
Il a été collaborateur de Mitterrand, ministre, il est maintenant député, mais il n'a jamais joué de rôle dans l'appareil du PS.
Il fait l'apprentissage de la vie politique, il est député européen.
Et les trentenaires ne sont pas très nombreux au PS.
Là, ce serait une nouvelle génération qui prendrait la relève.
"un sort à plusieurs idées plus ou moins à la mode parmi les commentateurs selon lesquelles :
L’examen de nos études dément indéniablement chacune de ces trois «analyses». Il prouve au contraire que la gauche avait toutes ses chances de l’emporter mais qu’elle n’y est pas parvenue en n’assumant pas assez ses mesures et l’orientation idéologique et politique qu’elle induisait. C’est bien l’absence de lisibilité politique de la candidate sur les grands enjeux économiques et sociaux conjuguée à une propension à se « centriser » (entre-deux tours) voire à se « droitiser » (autorité, sécurité et drapeau) en faisant campagne sur les thèmes de son adversaire qui explique le mieux cette déroute.[...]
- La très large victoire de Nicolas Sarkozy prouverait une droitisation de la société française ;
- Ségolène Royal a perdu car elle a été «plombée» par le programme économique et social que lui imposait le PS ;
- La «centrisation» était et est encore attendue par les électeurs de gauche et c’est pour ne pas l’avoir effectuée assez nettement que Ségolène Royal a perdu.
"... serait important pour Ségolène Royal de pouvoir faire entendre de façon claire et audible ses propositions en matière économique [...] Ségolène Royal pourra peut-être regretter d’avoir donner l’impression de désavouer les orientations fiscales souhaitées par son compagnon, François Hollande. [...] A l’instar de ce qu’a d’ores et déjà réussi Nicolas Sarkozy au sein de l’électorat de droite, c’est peut-être avec des annonces de ce type – polémiques et clivantes – que Ségolène Royal parviendra à fédérer un électorat potentiel, pour l’heure, encore très volatil. [...]
"Pourtant, la prééminence des enjeux sociaux sur les enjeux économiques avantage toujours la candidate socialiste. Les enjeux majeurs de cette campagne pour les Français étant bien plus sociaux qu’économiques, il
convient de relativiser la domination globale de Nicolas Sarkozy sur ceux-ci. [...] Or, Ségolène Royal est toujours dominante sur ces enjeux prioritaires, même si elle est en forte baisse [...]. La baisse enregistrée par Ségolène Royal sur ces enjeux prioritaires, tout particulièrement auprès des ouvriers, devrait sans doute inciter la candidate à réorienter son action et son discours dans cette voie, plutôt que dans celle de l’identité nationale, ou de l’insécurité, sujets nettement moins prioritaires pour les électeurs et sur lesquels Nicolas Sarkozy la domine structurellement.
"Le recul de Ségolène Royal s’explique essentiellement par une démobilisation du noyau dur de l’électorat populaire et de gauche au fur et à mesure de la campagne :
Seulement 61% des sympathisants de gauche la jugent plus crédible que Nicolas Sarkozy en moyenne sur nos 5 indicateurs (73% en déc.), et seulement 57% spécifiquement sur le chômage (74% en déc.). Inversement, Nicolas Sarkozy est plébiscité par 77% des sympathisants de droite au niveau global et par 76% d’entre eux en ce qui concerne spécifiquement le chômage.
- Les électeurs de François Bayrou, par ailleurs déjà sensiblement plus enclins à un vote Royal que Sarkozy sont tout aussi sévères à l’égard de cette dernière que la moyenne des Français concernant sa crédibilité économique et sociale. Il serait donc bien difficile et pas forcément «rentable», du fait de la démobilisation de l’électorat de gauche que cela pourrait induire, de trop en faire dans la conquête des voix centristes. [...] Royal perd contre Sarkozy alors que le programme économique et social du PS est jugé bien meilleur que celui de l’UMP.
Les principales mesures économiques et sociales prônées par Nicolas Sarkozy suscitent presque toutes l’adhésion d’une majorité de Français, à l’exception notable «du non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant en retraite» (53% contre 43% y sont opposés). [...] Même des mesures que certains pensaient impopulaires, comme «la hausse de l’IR pour les plus hautes tranches» (72%) ou qui ont été parfois présentées comme trop autoritaires, comme «la reprise des aides versées aux entreprises délocalisant» (81%) suscitent une très forte adhésion.
Très populaires auprès des Français (76%) ces mesures semblent très mobilisatrices pour les sympathisants de gauche (86%) tout en étant fort appréciées des électeurs de François Bayrou (77%).
Ces derniers sont d’ailleurs plus nombreux (77% contre 66%) à soutenir les mesures du «pacte présidentiel» que celles du programme de Nicolas Sarkozy.
C’est donc sans doute davantage dans son programme, et son ancrage à gauche, que dans sa personnalité et son ouverture plus forte au centre que résident les principaux atouts de Ségolène Royal."
Valls : Hollande "doit céder sa place après les législatives"
NOUVELOBS.COM | 24.05.2007 | 07:36Pour le député PS de l'Essonne, proche de Lionel Jospin, le premier secrétaire du PS doit partir, pour que le processus de rénovation du parti "aille jusqu'au bout". François Hollande a réitéré sa volonté de ne pas être candidat à sa propre succession mais a refusé d'avancer la date éventuelle d'un congrès.
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Manuel Valls (Sipa)
Le député PS de l'Essonne Manuel Valls estime dans un entretien au Point de jeudi 24 mai que François Hollande "doit céder sa place après les législatives" pour que le processus de rénovation du PS "aille jusqu'au bout"."Il faut rentrer dans un processus de refondation" et "éviter la préparation d'un congrès traditionnel qui aboutit aux synthèses", déclare-t-il."C'est la raison pour laquelle François Hollande ne peut pas être le porteur de cette rénovation. Il doit céder sa place après les législatives pour que ce processus aille jusqu'au bout", ajoute-t-il.Pour lui, le vote à la présidentielle "s'est beaucoup structuré autour de valeurs fortes : autorité, mérite, travail", et ce "mouvement correspond davantage à la progression de l'indidualisme de notre société, à des peurs liées aux conséquences de la mondialisation qu'à la régression des valeurs de justice sociale".Pour l'émergence d'une nouvelle générationLe PS a "tardé" à "assimiler" ces tendances auxquelles "il faut apporter des réponses de gauche", a insisté Manuel Valls.Selon le député de l'Essonne, Ségolène Royal "a eu de vraies intuitions en prenant la mesure de la crise politique, en parlant d'ordre juste, en rappelant que la Nation a été inventée par la gauche", mais "ces sujets n'étaient pas mis en cohérence, dans une ambition collective"."Définissons notre réformisme" suggère-t-il, appelant à l'apparition à la tête du PS "d'une nouvelle génération pour épouser le cycle politique", en faisant appel "aux élus locaux, aux jeunes représentatifs de la diversité, mais aussi à des citoyens issus du monde de l'entreprise ou de la culture".Hollande ne veut pas en dire plusDe son côté, le premier secrétaire du PS François Hollande a réitéré mercredi sa volonté de ne pas être candidat à sa propre succession à la tête du parti socialiste après les élections législatives."Je ne serai pas candidat à ma propre succession", a déclaré François Hollande. "Il faudra à un moment qui est proche passer à une autre phase de direction du parti socialiste", a-t-il ajouté, après avoir rappelé qu'il était à la tête du Parti socialiste depuis 1997."Nous aurons, au lendemain des élections législatives, un grand débat", a-t-il précisé dans l'émission "Questions d'info" sur LCP/Le Monde/France-Info. Il s'est toutefois refusé à répondre à toute question sur la date éventuelle d'un congrès, indiquant ne pas "être dans l'après-législatives"."Aujourd'hui, l'enjeu est tellement grand, ce n'est pas 2012, (...) c'est de savoir ce que les Français vont pouvoir là pendant les cinq ans qui viennent avoir comme pouvoir et contre pouvoir", a-t-il ajouté."Et je ne me distrairai pas de ce seul objectif", a-t-il affirmé.
Claude Bartolone : Ségolène Royal "n'a pas voulu associer tous les talents"
NOUVELOBS.COM | 22.05.2007 | 11:22
La candidate avait "fait le choix" de "laisser de côté" les ténors socialistes, déclare le député fabiusien, tandis que 31% des Français jugent que la défaite de la candidate est due au manque de soutien au sein du PS.
Ségolène Royal de retour au Conseil régional de Poitou-Charentes, le 21 mai à Poitiers - (c) AFP
Hollande : après les législatives, "tous les débats" ouverts au PS
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... y compris à propos du leadership du Parti socialiste, affirme son Premier secrétaire au JDD. Le gouvernement d'ouverture "n'est que débauchage individuel", ajoute-t-il.
Le premier secrétaire du PS François Hollande (AFP)
François Hollande, Premier secrétaire du Parti socialiste, déclare que "le PS ouvrira tous les débats" après les élections législatives, y compris à propos du leadership, dans un entretien paru dans le Journal du Dimanche.
Interrogé sur sa priorité au lendemain des élections, François Hollande répond : "le PS ouvrira tous les débats, sur toutes les questions, celle de notre ligne politique, des formes de notre action, des structures permettant le rassemblement et bien sûr celle du leadership".
"Son calendrier sera maîtrisé et décidé de façon collective", ajoute-t-il. "Rien ne sera occulté, rien ne sera différé. Il s'agit de nous mettre en ordre pour les années qui viennent. Je m'en porte aujourd'hui garant".
Le député du Val-d'Oise Dominique Strauss-Kahn l'a qualifié de "principal responsable" de la défaite présidentielle. Manuel Valls, député-maire PS d'Evry (Essonne), a affirmé que le Premier secrétaire devrait "céder la place à un moment ou l'autre".
François Hollande réaffirme dans le JDD : "la préoccupation immédiate de tous les socialistes aujourd'hui, c'est juin 2007". Selon lui, "le cycle électoral ouvert par la présidentielle n'est pas clos".
"Et ce en donnant une image de la politique qui n'est pas la nôtre. Pour Nicolas Sarkozy, elle n'est que ruse, artifice et compromission quand, pour nous, elle est fondée sur la cohérence des choix et le respect des convictions", affirme François Hollande.
"Comment appeler 'ouverture' ce qui n'est que débauchage individuel ?", commente le patron du PS. "Toute l'opération engagée par le président de la République doit être regardée à l'aune de ce seul objectif : obtenir une majorité aussi large que possible (aux législatives) à sa seule dévotion et avoir les mains libres pour mener à sa guise sa politique de rupture".
Concernant le nouveau ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, François Hollande considère qu'il "est désormais lié à une équipe au sein de laquelle c'est le ministère de l'Identité nationale et de l'Immigration qui délivrera les visas et sera responsable de la politique de 'codéveloppement'".
"C'est le chef de l'État qui définira seul la politique étrangère de la France", assure le Premier secrétaire du PS, avant d'ajouter : "Ai-je besoin d'évoquer, comme récompense au transfuge, un 'secrétariat d'Etat à rien du tout' ou la prime donnée à la captation d'amitié ou d'héritage ! Cette méthode n'honore pas son auteur". (avec AP)