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sur l'auteur

Je m'appelle Frédéric Faravel. Je suis né le 11 février 1974 à Sarcelles dans le Val-d'Oise. Je vis à Bezons dans le Val-d'Oise. Militant socialiste au sein de la Gauche Républicaine & Socialiste. Vous pouvez aussi consulter ma chaîne YouTube. J'anime aussi le groupe d'opposition municipale de gauche "Vivons Bezons" et je suis membre du groupe d'opposition de gauche ACES à la communauté d'agglomération Saint-Germain/Boucle-de-Seine.
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Gauche Républicaine & Socialiste

29 avril 2007 7 29 /04 /avril /2007 09:08
Après avois réalisé une synthèse post-fasciste par écrit (avec Gianfranco Fini) et à l'oral (en discutant avec Michel Onfray), Nicolas Sarkozy tente une nouvelle synthèse entre Caliméro et Zavatta. Avec une touche de Jean-Louis Debré pour le côté "demeuré érigé en juge constitutionnel"...
Mais ne vous y trompez pas : qu'il vous fasse rire ou pleurer, le candidat de l'UMP reste profondément un réactionnaire.
FRED

Sarkozy : le débat Royal-Bayrou "contraire à l'esprit des institutions"
NOUVELOBS.COM | 29.04.2007 | 09:53

Dans une interview au Journal du Dimanche, le candidat de l'UMP estime que le débat de samedi entre son adversaire socialiste et le président de l'UDF est "le summum de ce que la Ve république a de plus caricatural".

Le candidat UMP Nicolas Sarkozy

Le candidat UMP Nicolas Sarkozy (c) AFP

Nicolas Sarkozy estime dans un entretien au Journal du dimanche que le débat de samedi entre Ségolène Royal et François Bayrou était "contraire à l'esprit des institutions" françaises et "a apporté de la confusion".
"Ce débat a incarné, à mes yeux, le summum de ce que la Ve république avait de plus caricatural", lance le candidat de l'UMP. "Redescendons sur terre! François Bayrou n'a pas été qualifié pour le second tour" de l'élection présidentielle, rappelle-t-il.

Sarkozy se dit "victime de bassesses"
Nicolas Sarkozy dénonce par ailleurs les "bassesses" commises à son encontre pendant cette campagne électorale. "Le mensonge, l'insulte, la diffamation ne devraient pas être des éléments du débat démocratique", dit-il.
Pour ce qui est des pressions que la candidate socialiste et l'ex-candidat centriste l'accusent d'avoir exercées avec son entourage sur les médias, le candidat de la droite pense que "c'est insultant pour les journalistes et dégradant pour ceux qui se sont livrés à ces insinuations" "C'est une vision salissante de la vie politique."
Interrogé sur Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy le juge "serein, bien dans sa tête" car "il quitte la vie politique en paix avec lui-même". AP
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