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sur l'auteur

Je m'appelle Frédéric Faravel. Je suis né le 11 février 1974 à Sarcelles dans le Val-d'Oise. Je vis à Bezons dans le Val-d'Oise. Militant socialiste au sein de la Gauche Républicaine & Socialiste. Vous pouvez aussi consulter ma chaîne YouTube. J'anime aussi le groupe d'opposition municipale de gauche "Vivons Bezons" et je suis membre du groupe d'opposition de gauche ACES à la communauté d'agglomération Saint-Germain/Boucle-de-Seine.
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Gauche Républicaine & Socialiste

13 novembre 2006 1 13 /11 /novembre /2006 11:53

POURQUOI NOUS VOTERONS POUR LAURENT FABIUS LE 16 NOVEMBRE

Pontoise, le lundi 13 novembre 2006,

Premiers signataires :

Charlotte Brun – conseillère régionale, adjointe au maire d'Écouen, CN, Frédéric Faravel – SdS plaine de France, BF, Xavier Morin – BF, Argenteuil, Adélaïde Piazzi – SdS Montmorency, BF

Nadjet Boubekeur – Villiers-le-Bel, CF, Fanny Boyer – Eaubonne/Montlignon, Jocelyne Delestre – Andilly/Margency, Jacqueline Ferret – commission fédérale des conflits, Franconville, Yves Jeanne – Beauchamp, Fiorenzo Martorana – Montigny-lès-Cormeilles, Jean-Pierre Picard - adjoint au maire de Gonesse, Michel Renou – SdS L'Isle-Adam/Parmain, Fabien Roussel – bureau fédéral des adhésions, Eaubonne/Montlignon, François Villain – plaine de France...



Chers Camarades, Chers Amis,

Aucun des 3 candidats à l'investiture socialiste ne répond naturellement à nos exigences pour un(e) candidat(e) ou d'un(e) futur(e) président(e) socialiste.

Cette situation est une conséquence de l'effacement du Parti socialiste depuis 1997 ; le Parti socialiste n'a pas su repenser sur le long terme son rapport au pouvoir et les outils de la transformation sociale. En 2002, après une mauvaise campagne électorale découlant d'une absence de projet politique, Lionel Jospin était écarté du 2nd tour de l'élection présidentielle par Jean-Marie Le Pen. Lionel Jospin et les socialistes n'avaient pas su mobiliser les électeurs de gauche ; le Parti se retrouvait orphelin et sans gouvernail.

Depuis, aucune personnalité capable de rassembler les socialistes n'a émergé, car le Parti – au travers de ses principaux dirigeants – fuit les débats essentiels ; en refusant de rénover son orientation politique, son fonctionnement et son rapport à la société, il perpétue un marasme qui pourrait bien l'étouffer peu à peu.

Notre position de voter pour Laurent Fabius le 16 novembre prochain est donc un choix de raison car il faut bien donner l'impulsion au candidat qui s'approche le plus de nos convictions.

«Mon candidat, c'est le projet !»,
mais pour quelles priorités ?

Nous avons tout à fait à notre mesure pour peser sur le projet des socialistes à 2 ans des élections présidentielle et législative. Ce projet, nous nous y sommes largement impliqués au niveau national et fédéral, et nous sommes raisonnablement satisfaits du compromis qui a rassemblé les socialistes.

Nous sommes inquiets quand tel ou telle décide de prendre des libertés un peu trop marquées avec ce texte, même s'il peut être encore précisé – pas contredit - sur quelques thématiques. Mais nous convenons que ce projet nécessite une grille de lecture pour que son application prenne sens et les priorités choisies pour faire campagne seront autant de jalons posés pour rappeler nos exigences au futur chef de l'État.

Voici les priorités que nous identifions au sein du projet socialiste et qui fondent notre choix :

  1. la question sociale ;

  2. la question européenne ;

  3. la jeunesse et le droit à l'avenir ;

  4. la question démocratique.

[...]

Télécharger la totalité du texte : Notre vote du 16 novembre 2006
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