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sur l'auteur

Je m'appelle Frédéric Faravel. Je suis né le 11 février 1974 à Sarcelles dans le Val-d'Oise. Je vis à Bezons dans le Val-d'Oise. Militant socialiste au sein de la Gauche Républicaine & Socialiste. Vous pouvez aussi consulter ma chaîne YouTube. J'anime aussi le groupe d'opposition municipale de gauche "Vivons Bezons" et je suis membre du groupe d'opposition de gauche ACES à la communauté d'agglomération Saint-Germain/Boucle-de-Seine.
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Gauche Républicaine & Socialiste

19 septembre 2013 4 19 /09 /septembre /2013 14:42

Ce n'est pas dans mes habitudes, mais j'ai décidé de reproduire ici la mise au point que le Maire (PCF) de Bezons a faite sur son blog, suite aux trois pages de l'édition nationale et départementale du Parisien aujourd'hui.

Je partage l'intégralité de ses propos.

Intitulée en couverture "24 heures dans l'immeuble livré aux dealers", cette série d'articles présente une situation effectivement difficile pour de nombreux habitants mais omet (volontairement ?) de présenter les démarches engagées par les élus et la puissance publique pour résoudre un problème grave. Le Parisien n'a même pas jugé bon de vérifier le point de vue de la commune, ce qui est selon moi une véritable erreur sinon une faute. Cela ne vise qu'à faire un coup commercial pour booster les ventes du journal, cela crée exagérément un climat anxiogène et peut même perturber si l'on n'y prend garde le travail des forces de l'ordre.

On a connu Le Parisien plus inspiré... Il mérite aujourd'hui un carton rouge !

Frédéric FARAVEL

Le Colombier : ce que Le Parisien a oublié d’écrire

parisien.jpgDans le dossier qu’il consacre à la résidence du Colombier le 19 septembre, Le Parisien oublie de mentionner certains faits pourtant portés à sa connaissance.

Oui, la présence des dealers dans cette résidence est avérée. Oui elle exaspère les résidents. Mais pourquoi ne pas avoir rappelé les multiples actions conduites sous l’impulsion du maire de Bezons et de l’Amicale des locataires contre ces trafics ? Actions dont la journaliste avait pourtant fait état dans diverses éditions du même quotidien.

A plusieurs reprises, le maire, son équipe, les locataires, et dirigeants d’associations ont, en effet, conjointement organisé des manifestations visant à chasser les dealers mais aussi à sensibiliser les pouvoirs publics, et plus particulièrement le ministre de l’intérieur et le Préfet du Val-d’Oise, en charge de notre sécurité.

Cette mobilisation a également conduit à obtenir du bailleur Logirep l’engagement d’une enveloppe de 300 000 €  pour des travaux sécurisant l’immeuble, travaux accompagnés de l’installation de la vidéosurveillance. Par ailleurs, l’action du maire devrait aboutir à l’inscription et aux subventionnements, par l’État, de travaux dans cette résidence au titre de l’ANRU.

L’engagement de la Municipalité et des locataires pour lutter contre ces trafics de cannabis, est étroitement lié à la mobilisation, élargie à toute la population bezonnaise (5 000 pétitions et 600 personnes lors du rassemblement) contre la fermeture du commissariat de Bezons. Commissariat, aujourd’hui préservé et pour lequel  le maire de Bezons, mais aussi les principaux syndicats de police, continuent de réclamer le renforcement des effectifs.

Par ailleurs, à l’initiative du maire, se réunit la semaine prochaine, le Comité local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD) de Bezons,  au sein duquel siège le Préfet et le Procureur de la République. Et le premier point inscrit à l’ordre du jour de cette instance, à la demande du maire, concerne justement ce trafic. Et mieux encore, toujours à son initiative, les amicales de locataires du quartier participeront à cette réunion.

Nous aurions aimé que figurent dans cet article ces éléments positifs qui démontrent la combativité de celles et ceux qui habitent Bezons, aiment leur ville et ne se résignent pas.

Dominique Lesparre

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